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Preview 2008/09 : Central division

Cavs Opener 6561
Creative Commons License photo credit: abardwell

On débute notre traditionnelle série de prévisions avec la Central division. Elle abrite Detroit et Cleveland, deux franchises candidates au titre, et un outsider pour les playoffs : Milwaukee. Quant aux Bulls, feront-ils mieux que l’an passé ? Pas sûr et Vinny Del Negro a hérité d’une vraie patate chaude…

1- Cleveland Cavaliers
Malgré un effectif bancal et beaucoup de changements, les Cavs sont allés jusqu’en finale de conférence. C’est dire si LeBron James est capable de tous les miracles. La bonne nouvelle, c’est que le point faible de l’équipe, le poste de meneur, a été sérieusement renforcé avec l’arrivée de Mo Williams. La question est de savoir si l’ancien Buck est capable de piloter une grosse cylindrée. A ses côtés, LeBron James évidemment que les GM considèrent comme le futur MVP. Déjà monstrueux, l’enfant du pays devrait encore progresser cette saison. On attend de lui qu’il se comporte en vrai patron et qu’il l’ouvre plus régulièrement.
A ses côtés, un bon groupe de joueurs comme le shooteur Daniel Gibson, l’accrocheur Delonte West ou encore l’hyperactif Anderson Varejao. Malheureusement, Joe Smith n’est plus là pour catalyser tout ça et on n’a pas trop confiance en Ben Wallace pour stabiliser la raquette. Ce sera sans doute leur point faible cette saison.

2- Detroit Pistons
Sur le papier, les Pistons nous semblent mieux armés que les Cavs. Le collectif est plus solide et les gars jouent ensemble depuis des lustres. La paire Billups-Hamilton est une assurance tout risque, tandis que le trio Prince-McDyess-Wallace est une frontline expérimentée, complémentaire et toujours difficile à attaquer. Quant au banc, Stuckey et Maxiell pourraient être titulaire ailleurs dans une demi-douzaine de franchises.

Mais, puisqu’il y a un « mais », ce manque de nouvelles têtes lié à l’arrivée d’un nouveau coach (Mike Curry) pourrait être synonyme d’année de trop.
En d’autres termes, comment remotiver un groupe qui a déjà tout gagné et qui sait que Joe Dumars, le président, est prêt à transférer tout le monde, sauf Stuckey.

3- Milwaukee Bucks
Quelques cents placés sur les Bucks que peu de gens voient aussi haut. D’abord, il y a Scott Skiles, une vraie tête de mule mais qui au moins aura de l’emprise sur son effectif. Ensuite, un recrutement bien pensé avec le sous-estimé Richard Jefferson qui partagera le scoring avec l’un des rares shooteurs de la ligue : Michael Redd. Sous les panneaux, le duo Bogut- Villanueva vaut largement certains tandems d’équipes plus huppées. En fait, c’est le poste de meneur qui inquiète. Ramon Sessions est un super passeur mais c’est un minot. Quant à Luke Ridnour, certes revanchard, n’a rien démontré aux Sonics, incapable de reléguer Earl Watson sur le banc. Le banc justement, celui des Bucks est plutôt malin avec des vétérans aguerris comme Damon Jones, Tyronn Lue, Malik Allen ou encore Francisco Elson.

4- Chicago Bulls
Cà passe ou çà casse pour les Bulls qui doivent se faire pardonner d’une des pires saisons de leur histoire avec un vrai sentiment de gâchis au regard de l’effectif. Deux nouveaux hommes pour driver Chicago. Sur le banc, Vinny Del Negro, qui n’a aucune expérience de coaching. Sur le terrain, Derrick Rose, numéro 1 de la draft, est le meneur titulaire. Autant dire que les deux auront une drôle de pression sur les épaules. A leurs côtés, un effectif inchangé avec le tandem Deng-Gordon qui a le niveau All-Star (quand il se sort les doigts…), des porteurs d’eaux à gros salaire (Nocioni, Hinrich, Gooden, Hughes) et des jeunes qui bataillent pour du temps de jeu (Thomas, Noah, Sefolosha). Sur le papier, c’est énorme. Sur le terrain, c’est un peu de la bouillie. En présaison, les systèmes se limitaient à du pick-and-roll… Plutôt inquiétant mais il faut bien revenir aux bases.

5- Indiana Pacers
La cuillère de bois du groupe semble promise aux hommes de Larry Bird. Tous les faiseurs de trouble ont quitté le navire. Tous sauf Jamaal Tinsley qu’Indiana n’arrive toujours pas à refourguer. Jim O’Brien ne compte pas sur lui, et c’est donc T.J. Ford qui sera à la baguette. Autour de lui, un cocktail complexe fait de joueurs sans expérience (Rush, Hibbert), d’ailiers à tout faire (Granger, Dunleavy) et de vétérans en fin de carrière (Foster, Nesterovic et peut-être Croshere). Le souci, c’est que ça ne ressemble même pas à une équipe en reconstruction mais plutôt à une période de transition en attendant mieux.

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