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R.C. Buford : « Nous espérons que Manu Ginobili terminera sa carrière à San Antonio »

Sans 28 secondes cauchemardesques dans le Game 6, San Antonio se poserait des questions de champion concernant son avenir. Battus malheureux, les Spurs doivent se contenter de préparer les prochaines campagnes dans le costard du roi de l’Ouest. En évoquant sa volonté de ne pas raccrocher les sneakers cet été, Manu Ginobili a déjà répondu à une première interrogation sur le Big Three.

Après le Game 7, Tim Duncan assurait pour sa part avoir encore une année de contrat à respecter, signe qu’il est partant pour reprendre du service. Comme la question ne se pose pas pour Tony Parker, R.C Buford peut envisager le bis repetita. Sur son gaucher gaucho, il confirme les propos de son joueur.

« On va évaluer les alternatives mais nous espérons que Manu terminera sa carrière à San Antonio. »

Pour combien l’ailier de 36 ans veut-il prolonger ? Combien est prêt à lui offrir le finaliste NBA ?

La réponse dépendra en partie de l’avenir contractuel de Tiago Splitter, free agent protégé. Auteur de 10,3 pts et 6,4 rbds en saison régulière, le pivot brésilien a raté ses playoffs, hormis la finale de conférence contre Memphis (8,8 pts mais 3 prises seulement en moyenne). Efficace sur le pick and roll et au poste, Splitter est un défenseur intelligent mais encore trop réticent à jouer des muscles.

Sur le marché des « big men », dans une ligue où les grands aux bonnes mains se raréfient, l’auriverde vaut plus que les 3,9 millions qu’il a empochés cette saison. Les Spurs peuvent conserver Splitter en s’alignant sur la meilleure offre reçue, le feront-ils ? Buford reste vague.

« Je ne peux pas donner des réponses avant de savoir ce que dit le marché et d’en connaître l’impact sur notre futur. Tiago correspond à notre jeu, notre culture et son jeu au périmètre est supérieur à la moyenne sur les écrans et les rolls. Il n’est pas encore le joueur qui oblige à des prises à deux au poste et j’aimerais qu’il le devienne. Mais ça ne serait pas juste de lui en faire le reproche. Il faudra évaluer quel est son prix. »

Outre les deux Sud-Américains, Boris Diaw, Gary Neal et Matt Bonner sont également dans une situation contractuelle qui nécessite une décision estivale. Babac doit toucher 4,9 millions s’il décide de lever son option, autant dire qu’il aura du mal à encaisser plus en testant le marché. Gary Neal est lui aussi free agent protégé et son intérêt est de rester dans le Texas. Idem pour Bonner, dont le contrat ne devient complètement garanti qu’à la fin de la semaine.

« Jusqu’à ce qu’on sache les vérités du marché pour nos joueurs et dans quelle mesure ça colle avec nos plans sportifs, il est impossible de savoir qui on pourra recruter. Il y a beaucoup de joueurs qu’on aime bien mais on ne sait pas encore si on peut se les payer. »

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