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Pourquoi Carmelo Anthony ne quittera pas New York

La performance légendaire de Carmelo Anthony résonne encore dans le Garden. Elle est aussi le symbole du joueur et de son équipe depuis plusieurs saisons : des exploits individuels pour des résultats moyens et trop souvent en dents de scie.

Les rumeurs de transferts de Melo sont nombreuses. Ces dernières semaines, des proches ont avoué qu’il pourrait changer d’air. Notamment pour Chicago, voire Los Angeles. Mais selon Yahoo Sports, voir Anthony sous le maillot des Bulls est encore à l’heure actuelle improbable.

Chicago est un « grand » marché avec une logique de « petit »

Même avec les économies réalisées par le transfert de Luol Deng et l’éventuel « amnestie » de Carlos Boozer, les Bulls seront-ils prêt sà donner un contrat maximum à Anthony ?

Eux, les rois de l’économie, qui ne veulent pas payer la luxury tax ? Difficile à dire. Sportivement, les Bulls seront-ils capables d’accrocher une bague si Derrick Rose ne revient jamais à son meilleur niveau ? Clairement, non. Anthony n’est donc pas sur d’accrocher un contrat max, ni d’avoir des garanties de titre. Le projet est donc alléchant sur le papier, mais bancal en réalité.

New York, la culture du joueur perdant

De plus, que ce soit Chicago ou Los Angeles, on retrouve une culture de la victoire. Les deux équipes partagent 22 titres, avec des joueurs de légende et notamment les deux meilleurs arrières de l’histoire : Kobe Bryant et Michael Jordan.

Les Knicks n’ont plus cette culture. Ils courent après un titre depuis 1973 et les légendes du club sont des individualités qui n’ont jamais mis de bague à leur doigt. Melo est devenu une idole, et même s’il ne remporte pas le titre, il sera toujours adulé. Comme Bernard King (son idole) ou encore Patrick Ewing. Cela n’existe pas à Chicago ou Los Angeles. Sauf peut être dans le futur avec D-Rose.

Anthony est donc parfait dans le contexte new-yorkais. Adulé du public, il joue sous le maillot de ses rêves, dans la franchise de son idole et les dirigeants lui ont offert en quelque sorte les pleins pouvoir (Jeremy Lin et Mike D’Antoni sont partis). Partir pour une bague ? Elle serait encore plus belle à New York. Si jamais elle ne vient pas, il restera une idole dans la Mecque du basket. C’est déjà énorme comme héritage.

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