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Sixième homme, meilleure progression, défenseur… La situation à la mi-saison

Trophées NBA – Alors que Victor Wembanyama, Payton Pritchard et Kenny Atkinson s’affirment dans leurs catégories respectives, la blessure de Franz Wagner a rebattu les cartes pour le trophée de la meilleure progression.

trophées Cade Cunningham norman powell

Après un premier topo effectué à la fin novembre, nouveau point d’étape sur les différentes courses aux trophées en cours. Comme pour le MVP et les rookies, globalement des tendances se confirment, sauf pour le trophée de meilleure progression de l’année où la situation reste très indécise.

Meilleur défenseur : la muraille Victor Wembanyama

Il reste l’immense favori des parieurs et cela se comprend. Victor Wembanyama semble avoir encore passé un cap en matière de présence défensive ces dernières semaines. La stat la plus parlante est bien évidemment son volume de contres, qui a encore augmenté. De 3.6 unités à la mi-novembre, le leader de la ligue en la matière est passé à 4 unités en moyenne. Signer deux sorties de suite à… 10, puis 8 contres peu avant Noël aide.

Mais résumer son impact en matière de dissuasion aux seuls contres serait réducteur. On notera que sans lui, toujours en décembre, les Spurs ont signé deux de leurs pires prestations défensives de l’année (140 et 139 points encaissés), confirmant son rôle prépondérant dans la défense texane. Même si la nuit dernière, ils en ont pris 136 avec lui.

Derrière Wemby, très loin, deux noms reviennent le plus souvent : Evan Mobley et Jaren Jackson Jr. Mais les parieurs n’ont pas que des intérieurs en tête et pensent aussi à la meilleure défense de la ligue, le Thunder. Ainsi le nom du spécialiste d’OKC, Luguentz Dort, qui avait du mal à émerger jusqu’ici, est (enfin) cité, de même que celui de son coéquipier et leader, Shai Gilgeous-Alexander. Ce dernier est le 2e intercepteur de la ligue derrière Dyson Daniels.

6e homme de l’année : la baisse de régime Payton Pritchard

Payton Pritchard trophée

Si le 6e homme des Celtics garde la faveur des parieurs, il n’en demeure pas moins, à l’instar de sa formation en pleine baisse de régime. Après trois premiers mois de compétition à 16 points de moyenne, Payton Pritchard ne tourne plus qu’à 10.5 points de moyenne en janvier, avec des pourcentages en baisse (43% dont 33% aux tirs).

À voir s’il parvient à se maintenir alors que son principal concurrent s’appelle désormais De’Andre Hunter. L’ailier des Hawks a signé une poussée impressionnante en décembre en tournant à près de 23 points de moyenne. Mais lui aussi connaît une baisse de productivité avec seulement 14 points à 35% de réussite en janvier. Le bilan, encore équilibré de son équipe, semble pouvoir en sa faveur et inversement.

Alors que Malik Monk n’est plus dans la course depuis qu’il a été installé dans le cinq des Kings, Malik Beasley émerge comme un candidat sérieux, du fait de son impact au « scoring » et dans le vestiaire des Pistons. Derrière eux, Naz Reid, Santi Aldama, Tari Eason, Ty Jerome ou encore Bobby Portis méritent une mention.

Coach de l’année : l’évidence Kenny Atkinson

Malgré une dynamique en cours de quatre défaites en sept sorties, les Cavaliers occupent toujours la place de n°1 de la ligue, à égalité avec le Thunder. Kenny Atkinson reste ainsi favori pour le trophée de coach de l’année alors que pour mémoire, son homologue Mark Daigneault est un candidat moins naturel dans la mesure où jamais un coach n’a été récompensé deux années de suite dans l’histoire.

En quelques mois, Atkinson a transformé les Cavs pour en faire de sérieux candidats à l’Est. Son travail est salué de même que celui de deux autres coaches de l’Est, pour d’autres raisons. Jamahl Mosley d’abord, pour avoir maintenu le Magic avec un bilan positif malgré une cascade de blessures. Même si son équipe dégringole actuellement avec cinq revers de rang.

J.B. Bickerstaff, ensuite, pour avoir fait émerger les Pistons à une 6e place surprise à l’Est, synonyme de qualification directe aux playoffs. Potentiellement une première depuis 2019. À l’Ouest, difficile de ne pas citer Ime Udoka à la tête sans doute de l’équipe révélation de la conférence, les Rockets. Mention également pour Tyronn Lue pour son travail avec les Clippers.

Most Improved Player : la grande indécision

Franz Wagner était bien parti pour s’offrir un beau doublé avec ce trophée, en plus d’une première sélection All-Star. Mais sa blessure, qui l’a mis sur la touche pour un bon mois et demi, a cassé sa dynamique. Un autre homme pourrait en profiter pour s’offrir cette double récompense : Cade Cunningham.

Le leader des Pistons, attendu pour son premier match des étoiles, fait désormais figure de favori pour le titre de meilleure progression en raison de ses progrès dans tous les secteurs (hormis à l’interception et aux ballons perdus…) et de son impact sur les victoires de sa formation.

Norman Powell connaît, lui, une explosion statistique bien plus marquante (+10 points de moyenne) en raison de son changement de statut avec les Clippers : il est désormais la première option de l’équipe. Tyler Herro affiche également ses meilleures moyennes en carrière, profitant du chaos autour de Jimmy Butler et d’un Bam Adebayo en retrait.

Les noms d’Evan Mobley, Ivica Zubac, Jalen Johnson, Christian Braun voire Gradey Dick sont également cités dans cette course qui s’annonce indécise jusqu’au bout.

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