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Le Top 10 des joueurs qui n’auraient jamais dû être All-Star

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Après vous avoir proposé il y a peu le Top 10 des joueurs n’ayant jamais été All-Star, voici le Top 10 des joueurs de ces dix dernières années qui l’ont été sans qu’on ne comprenne vraiment comment. Par chance, par pénurie de talent à leur poste ou parce qu’ils ont réalisé une saison exceptionnelle dans une carrière pourtant décevante. Voici notre choix, on attend le votre :

10. Jerry Stackhouse, 2001
Moyennes de la saison : 29.8 points, 5.1 passes, 3.9 rebonds, 4.1 pertes de balle

Le premier d’une longue série de ce que les commentateurs ont appelés les « nouveaux Jordan » réalisait en 2001 sa meilleure saison statistique à Détroit. Des stats de All-Star assurément, mais réalisés dans une équipe des Pistons totalement à la dérive et dont le deuxième scoreur était… Corlis Williamson. Stackhouse shootait beaucoup (à 40% de réussite), perdait énormément de ballons et engrangeait les défaites. Le profil d’un All-Star.

9. Anthony Mason, 2001
Moyennes de la saison : 16.1 points, 9.6 rebonds, 3.1 passes

Décidément, l’Est, en 2001, ne regorgeait pas de talent. Ainsi, Anthony Mason, intérieur valeureux mais peu brillant, menait une équipe de Miami composé de vieux briscards à la troisième place de la Conférence Est, avant d’être sweepé par les Hornets.

8. Brad Miller, 2004
Moyennes de la saison : 14.1 points, 4.3 passes, 10.3 rebonds

Au sein d’une équipe des Kings encore au sommet, et qui ne perdra qu’en demi-finale de Conférence face aux Timberwolves de Kevin Garnett, Miller démontra qu’il avait du talent plein les mains pour réaliser sa meilleure saison dans la Ligue avant d’aller au All-Star Game dans une équipe qui regorgeait déjà d’intérieurs de haut vol.

7. Antonio Davis, 2001
Moyennes de la saison : 13.7 points, 10.1 rebonds, 1.9 contres

Toujours en 2001, toujours dans la conférence Est, Antonio Davis, lieutenant de Vince Carter aux Raptors se voit récompensé de ses services par une sélection au All-Star Game dans une équipe de l’Est sans talent intérieur, Alonzo Mourning étant le seul pivot d’impact alors que Grant Hill débutait le match au poste 4 en défense sur Tim Duncan…

6. Shareef Abdur-Rahim, 2002
Moyennes de la saison : 21.2 points, 9.0 rebonds, 3.1 passes

De bonnes stats mais un impact sur l’équipe nul et surtout un manque de leadership ont fait de Shareef AAbdur-Rahim l’une des énigmes du basket moderne. Sa faculté à transcender son équipe était inexistante et son unique sélection au All-Star Game nous rappelle que le basket est avant tout un sport de stats.

5. Theo Ratliff, 2001
Moyennes de la saison : 12.4 points, 8.3 rebonds, 3.7 contres

Encore ce maudit All-Star Game 2001 où l’Est tentait désespérément de trouver du talent là où il n’y en avait pas. Dernier exemple : Théo Ratliff, pivot défenseur utile mais totalement étranger à l’esprit du All-Star Game et surtout très limité offensivement.

4. Wally Szczerbiak, 2002
Moyennes de la saison : 18.7 points, 3.1 passes, 4.8 rebonds

Depuis le temps qu’on nous annonçait le nouveau Larry Bird, Wally Szczerbiak sélectionné au All-Star Game, ça sonnait comme la promesse de la relève attendue. Une sélection assez politique qui sera heureusement rattrapée par la réalité lorsque tout le monde découvrira que la défense de Wally était aussi nulle que sa vitesse de pointe.

3. Dale Davis, 2000
Moyennes de la saison : 10.0 points, 9.9 rebonds

L’archétype même du joueur sélectionné parce qu’il faisait partie d’une équipe qui gagnait alors même qu’il n’était que le cinquième marqueur de son équipe. Un joueur solide tout de même. Mais un All-Star ? Non.

2. Nick Van Exel, 1998
Moyennes de la saison : 13.8 points, 6.9 passes, 3.0 rebonds

Nick van Excel, quatrième marqueur des Lakers de 1998, réalisait une saison correcte mais c’était sans compter sur sa capacité à jouer en dehors du jeu et à mettre l’équipe en danger inutilement. Sans doute l’un des joueurs les moins influents sur son équipe de ces dernières années.

1. Jamaal Magloire, 2004
Moyennes de la saison : 13.6 points, 1.0 passes, 10.3 rebonds

Profitant une nouvelle fois de la faiblesse de l’est à l’intérieur, Jamaal Magloire se rendit au All-Star Game qui se déroulait chez lui, à la Nouvelle-Orléans. Un All-Star Game dont il fut, à un ou deux paniers près, tout proche de remporter le titre de MVP au nez et à la barbe de toutes les stars qui l’entouraient. cette performance lui permit d’ailleurs de signer de futurs gros contrats qui ne firent que révéler son véritable niveau.

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