Alors que Michael Beasley s’embrouillait avec un fan à New York, Matt Barnes faisait de même à San Francisco.
L’année dernière, c’était déjà lors de cette même compétition qu’il avait frappé un coach, sans que la ligue ne lui impose d’amende ou de suspension.
Avec le lockout, il devrait en être de même cette année. Mais alors que les joueurs sont en conflit avec les propriétaires, il serait sûrement bon qu’ils ne multiplient pas ce genre d’exploits, histoire de ne pas perdre la sympathie du public.