Dans le rétro (semaine 2)

Chaque mercredi, Basket USA vous propose un Top 3 des événements de la semaine passée. Perf’ historiques ou anecdotes passées inaperçues, elles nous ont marquées et on les mettra en valeur.

1- Je règle mon pas sur le pas de mon père
On quitte quelques secondes la NBA pour faire un tour en NCAA. Plus précisément dans l’Illinois où un certain Jeffrey Jordan a effectué ses premiers dribbles.
Ce freshman n’est autre que le fils de Michael Jordan. Si son père était surnommé « Air Jordan », la presse US le présente comme « Heir Jordan » (l’héritier).
Meneur de jeu du haut de son 1m85, Jeff est évidemment le chouchou du public et son entrée de jeu dimanche dernier n’est pas passée inaperçue. En revanche, sa prestation ne restera pas dans les annales avec une balle perdue et un tir raté.

2- Josh Smith est-il dingo?
Selon la presse locale, Josh Smith est une bombe à retardement. L’ailier des Hawks est free agent l’été prochain et il a décidé de se mettre en valeur. D’abord, il est allé se plaindre auprès de son staff de Speedy Claxton. Il estime que son meneur de jeu ne lui donne pas assez la balle.
Puis, pendant les matchs, il s’est mis à chambrer les adversaires. On l’a même vu s’amuser avec le banc des Pistons alors que son équipe venait de perdre sur le fil.
Une attitude bizarre qui n’aurait qu’un seul objectif : se barrer d’Atlanta et toucher le pactole ailleurs.

3- Un seul être vous manque?
« Jamais, je n’ai vu une telle équipe de tarés« . Celui qui parle ainsi est un dirigeant des Warriors. Et les joueurs visés sont les siens! Equipe surprise des derniers playoffs, Golden State joue à l’envers en ce début de saison avec aucune victoire en six matchs.
Pour Don Nelson, cette mise en action foirée a une explication : l’absence de Stephen Jackson, suspendu sept matchs. « Jax est l’un de nos leaders. C’est un joueur intelligent, avec beaucoup de personnalité. Sans lui, l’équipe n’est pas la même« .
Nelson est si content de Jax qu’il en a même fait l’un des capitaines de l’équipe! « Je suis très fier que le coach ait pensé à moi. J’en étais très ému. J’ai appelé mes potes et on a sabré le champagne!« .