Matchs
NBA hier
Matchs
hier
HOU131
GSW116
LAL96
MIN103
Pariez en ligne avec Unibet
  • DET1.8NEW2.02Pariez
  • LA 1.35DEN3.25Pariez
  • 100€ offertsLa suite →

Les meilleurs free agents disponibles pour la fin de saison à Orlando

À la veille de l’ouverture de la « mini free agency », l’heure est venue de faire un point sur les meilleurs joueurs en quête d’un contrat pour la fin de l’exercice 2019-20 en Floride.

Ce mardi, à partir de 18 heures, les 22 franchises encore en lice pour le titre bénéficieront d’une semaine pour se renforcer en engageant des « free agents », en vue de la reprise de l’exercice à Orlando. Et, compte tenu du contexte actuel, elles pourront disposer de non pas 15 mais 17 joueurs (dont deux en « two-way contract ») dans leurs rangs pour le déplacement en Floride. Une façon de pallier forfaits, blessures et/ou contaminations au Covid-19.

Cependant, les joueurs à la recherche d’un contrat doivent respecter certaines conditions pour être éligibles et espérer signer quelque part. Car il faut effectivement qu’ils aient évolué en NBA au cours des deux dernières années et qu’ils n’aient pas joué à l’étranger, dans un effectif professionnel, lors de la saison en cours. Ce qui exclut Greg Monroe ou Lance Stephenson.

En revanche, deux joueurs sont quasi assurés de décrocher leur ticket pour la fin de saison avec un nouveau CDD. Il s’agit de Joakim Noah et d’Anthony Tolliver qui s’engageront demain avec les Clippers et les Grizzlies.

Une chose est sûre, certains éléments disponibles sont connus de tous et peuvent apporter une aide bienvenue à une équipe dans la « bulle ». En supposant évidemment qu’ils soient au meilleur de leur forme…

DeMarcus Cousins

Le nom le plus ronflant de la liste, c’est bel et bien celui de DeMarcus Cousins. Mais les interrogations autour du pivot sont nombreuses puisqu’il est impossible de savoir dans quel état de forme il se trouve aujourd’hui. Car, en deux ans, il a enchaîné rupture du tendon d’Achille, déchirure du quadriceps et rupture des ligaments croisés. Considéré depuis ses débuts comme l’un des intérieurs les plus doués de la ligue, la cote de « DMC » est désormais au plus bas et il a l’occasion de se rappeler au bon souvenir des clubs.

D’après le calendrier initial, il devait retrouver les parquets lors des playoffs, courant mai, avant que le coronavirus n’en décide autrement. Finaliste NBA l’an dernier avec les Warriors et membre des Lakers à l’entame de la campagne actuelle, avant d’être libéré, DeMarcus Cousins intrigue et reste une force poste bas. En ce sens, il pourrait décrocher un rôle de joker en sortie de banc chez un prétendant au titre, s’il est à 100% de ses capacités.

Isaiah Thomas

Après DeMarcus Cousins, voici un autre joueur passé par les Kings aujourd’hui libre de tout contrat. Seule différence entre les deux : Isaiah Thomas a foulé les parquets en 2019-20.

C’était avec les Wizards et le meneur de poche – plombé depuis plus de deux ans par des problèmes de hanche – a pu retrouver des sensations dans la capitale, l’espace d’une demi-saison (quasiment 12 points et 4 passes par match). Jusqu’à ce qu’il ne soit transféré puis coupé par les Clippers en février.

Aujourd’hui, il repart donc de zéro (ou presque) et Isaiah Thomas va devoir convaincre des dirigeants de lui laisser une nouvelle chance. Dans une formation en manque de vécu en playoffs et de scoring en sortie de banc ?

J.R. Smith

Habitué aux joutes NBA, défenseur honnête sur l’homme et gros shooteur à 3-pts, J.R. Smith n’est plus à présenter. Problème : il n’a pas joué en NBA depuis quasiment deux ans et sa fin d’aventure en eau de boudin avec les Cavaliers. Mais, à bientôt 35 ans, il reste toujours une solution de choix sur le marché actuel des free agents grâce, notamment, à son talent offensif et son expérience.

C’est pour cette raison que le meilleur sixième homme de l’année 2013 peut obtenir une nouvelle pige chez un candidat au titre, en manque de profondeur sur les postes 2/3. Pourquoi pas chez les Lakers, qui le surveillaient de près en février ? D’autant plus qu’il y retrouverait LeBron James, qui avait déjà relancé J.R. Smith en 2015…

Iman Shumpert

Également champion avec les Cavaliers en 2016, Iman Shumpert est plus jeune (29 ans) et défend mieux que J.R. Smith, même s’il n’est pas aussi chaud que ce dernier derrière l’arc. Autre élément à son avantage : il a évolué avec les Nets cette saison où il a pu rassurer par ses qualités physiques et athlétiques, avant d’être libéré.

Capable de défendre efficacement sur les postes de meneur, arrière et ailier, « Shump » pourrait se dégoter une place dans un effectif grâce justement à son énergie défensive. Un « role player » par excellence, et bien utile.

Tyler Johnson

Longtemps décrié pour ses performances loin d’être en phase avec le montant de son contrat paraphé en 2016 (50 millions de dollars sur quatre ans), Tyler Johnson doit désormais rebondir après avoir été coupé par les Suns. Entre pépins physiques et apport insuffisant, il n’aura jamais su répondre aux attentes placées en lui avec ce « poison contract », que ce soit avec Miami puis Phoenix.

Néanmoins, dans un rôle de joker en sortie de banc, le gaucher de 28 ans peut toujours rendre de jolis services à des équipes en manque de scoring, de rythme et de créativité offensive. À l’heure actuelle, les Rockets auraient déjà manifesté leur intérêt pour Tyler Johnson et les Texans ne devraient pas être les seuls sur le dossier…

Allen Crabbe

Autre joueur libéré récemment et autre arrière orienté attaque et scoring. À 28 ans, Allen Crabbe a connu un exercice très compliqué avec les Hawks puis les Wolves. Principalement réputé pour ses qualités de shooteur, il a pourtant été particulièrement maladroit en 2019-20 (36% de réussite aux tirs, dont 30% à 3-pts), ce qui a contraint les dirigeants du Minnesota à s’en séparer début mars.

Pour qu’une franchise en pince pour Crabbe, il faudra qu’elle ait besoin de shoot extérieur et d’un joueur capable de prendre feu à tout moment. Car ce n’est pas en défense qu’il risque de peser et de se faire remarquer.

Jordan Bell

Après une saison rookie prometteuse avec les Warriors en 2017-18, Jordan Bell a progressivement perdu le fil de sa carrière en disparaissant de la rotation des Dubs avec le temps. À tel point que ces derniers ne l’ont pas conservé à l’été 2019. Parti chez les Wolves, l’intérieur de 25 ans n’a pas su se relancer et il a été envoyé quelques mois plus tard chez les Rockets puis chez les Grizzlies, lors de la « trade deadline ».

Mais, immédiatement coupé par Memphis, il a continué malgré lui sa descente aux enfers. L’heure est grave aujourd’hui pour Jordan Bell, qui va devoir se faire violence pour trouver un nouveau point de chute. Mobile défensivement, son profil reste cependant intéressant dans la NBA d’aujourd’hui et pourrait lui offrir un strapontin.

Gerald Green

Nouvel élément d’expérience sur le marché des free agents avec Gerald Green. Celui-ci va pouvoir profiter de la suspension de la campagne actuelle pour retrouver plus tôt que prévu les parquets NBA. Victime d’une fracture du pied durant la pré-saison, le dunkeur fou devenu redoutable derrière l’arc a dû être libéré par les Rockets.

Sa convalescence lui permettra en tout cas d’être frais au moment opportun. En espérant qu’il revienne à un niveau de jeu correct, malgré sa blessure. Si tel était le cas, il pourrait retrouver une formation sans trop de difficultés grâce à son vécu, ses qualités athlétiques et sa capacité à changer le « momentum » d’une rencontre.

Trey Burke

Si une équipe a besoin d’un meneur capable de créer pour lui-même (et les autres) et de dynamiter les défenses adverses, Trey Burke fait parfaitement l’affaire. Coupé par les Sixers après la « trade deadline », le meneur de 27 ans n’a pas laissé un souvenir impérissable à Philadelphie. Ses lacunes défensives ne plaident pas en sa faveur mais il possède des qualités indéniables offensivement.

Jamal Crawford

Si Jamal Crawford ne retrouve pas de franchise prochainement, son dernier match en NBA restera sa pointe à 51 unités marquées en avril 2019 avec les Suns. Pour autant, cette prestation ne lui a pas permis de s’offrir une dernière danse depuis, malgré d’innombrables demandes et appels du pied.

Même s’il n’a plus officiellement joué depuis plus d’un an, « J-Crossover » reste toujours un vétéran respecté et un talent en attaque, à 40 ans passés. Seul bémol, et pas des moindres : ses errements défensifs l’empêcheront assurément de pouvoir bénéficier d’un autre rôle que celui de joker offensif sur un petit échantillon de minutes.

Autres : Joe Johnson, Corey Brewer, Nick Young, Ryan Anderson, C.J. Miles…

Suivez toute l'actualité NBA sur la chaîne WhatsApp de Basket USA

Suivez nous également sur Google Actualités

Commentaires
Forum (et HS)  |   +  |   Règles et contenus illicites  |   0 commentaire Afficher les commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *