Adam Silver a expliqué que la ligue allait sans doute s’attaquer au « Hack-a-Shaq », utilisé contre Dwight Howard, Andre Drummond ou DeAndre Jordan. Si la NBA ne souhaitait pas légiférer pour deux ou trois joueurs, le commissioner a fini par entendre les plaintes des fans, lassés de voir les matchs se transformer en concours de lancers francs.
Toujours prompt à jouer l’avocat du diable, Mark Cuban assure de son côté… que ce hacking ne nuit pas au spectacle et qu’il est au contraire fascinant pour les fans.
« Est-ce qu’il va mettre ses lancers francs ? S’il en met un ou deux, est-ce que l’équipe va continuer ? Est-ce que la stratégie fonctionne ? » répond-il à ESPN, détaillant ce que les supporters peuvent penser en tribunes, ou devant leur télévision.
Pour le propriétaire des Mavericks, cette chasse au « Hack-a-X » est une lubie de quelques « puristes ».
« Il faut réaliser que le nombre de puristes du basket qui ne sont pas journalistes ne dépasse pas les 1 000 au total. Il n’y a pas de beauté particulière à voir un joueur remonter le terrain et dribbler autour de la ligne à trois points. On va changer ça aussi ? »
On se demande si Mark Cuban avancerait les mêmes arguments si DeAndre Jordan avait rejoint les Mavs cet été…