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Les Pacers, spécialistes des braquages de fin de match

NBA – Comme face aux Bucks la semaine dernière, les Pacers ont renversé la situation de façon improbable pour s’imposer à Cleveland.

pacers« Je ne sais pas, je ne sais pas… Vous avez vu celle de la semaine dernière ? » Un journaliste vient de demander à Rick Carlisle où il placerait la fin de match de sa troupe à Cleveland parmi les plus mémorables. « Celle de la semaine dernière, c’était une situation dont aucune équipe ne s’était jamais sortie, en 1 200 tentatives », poursuit le coach des Pacers après avoir fait rire la salle de presse.

Autant en rire face à cet enchaînement de scénarios improbables écrits par la franchise de l’Indiana. Déjà, sur la fin de saison, Rick Carlisle et ses hommes avaient connu une série « anormale » de victoires, qui n’avait pas encore grand-chose de comparable avec les événements récents.

Car comme le rappelle le technicien, sa formation avait déjà fait très fort il y a quelques jours pour sortir les Bucks. Avec un final de feu, et accessoirement le plus gros comeback des Pacers depuis 1997 dans les 40 dernières secondes d’un match de playoffs, sa troupe avait déjà signé « l’une des plus grandes victoires » de son histoire.

La secousse Aaron Nesmith

Un exploit d’autant plus grand qu’il s’agissait d’un match qualificatif pour le tour suivant. Mais ce Game 2 dans l’Ohio, face à la meilleure équipe de la conférence, va aussi occuper une place de choix. Car comme face aux Bucks, Indiana s’est retrouvé avec 7 points de retard avec une quarantaine de secondes à jouer. Et comme face aux Bucks, les visiteurs ont trouvé un moyen de gagner.

Le réveil de cette fin de rencontre est sans doute venu de Aaron Nesmith. Après… deux lancers-francs manqués par Pascal Siakam, il a surgi de nulle part pour claquer un dunk devant un Donovan Mitchell sonné. Puis, devant le même Mitchell, il provoquait un passage en force. « Il a fait des actions incroyables dans le final. Sans ça, on n’a aucune chance », résume son coach.

La magie a continué à opérer. Un « drive » de Siakam plus tard, le match ne se jouait plus que sur une possession (116-119). Une remise en jeu mal assurée par les Cavs, une faute obtenue par Haliburton, un lancer-franc converti, puis un second trop court mais volleyé : les Pacers s’offraient une dernière cartouche, pour la gagne. Et Tyrese Haliburton se chargeait de jouer au bourreau. Encore une fois.

« Comment ils ont gagné ce match ? »

« C’est la NBA ! Des choses plus folles encore sont arrivées. Le basket est comme ça, en particulier la fin de notre saison qui a ressemblé beaucoup à ça. On a eu beaucoup de matchs où on peut capturer chaque moment et se dire ‘Comment ils ont gagné ce match ?’ On a un groupe résilient, on trouve des moyens de gagner. On n’abandonne pas », se félicite le meneur de jeu en mettant en avant la continuité de son groupe depuis deux ans.

Quand Myles Turner parle d’une nouvelle « merveille » de fin de match, leur coach rappelle que les Pacers ont « connu beaucoup de ces situations cette année et sur la fin de la saison. Notre groupe a confiance les uns en les autres. Notre truc est de continuer à exécuter, à jouer. On a vraiment bien géré la situation à la fin. Et évidemment, on a été chanceux. »

Un soupçon de chance et une bonne dose d’envie pour refaire un retard de 20 points subi plus tôt dans le match. « Remonter à contre-courant n’est même pas le mot. On essayait d’avancer en pleine tempête, mais c’est un match de 48 minutes. Une chose qu’on continue à dire est que le basket chez les Pacers, c’est 48 minutes. Parfois c’est 53, parfois 58 », insiste Rick Carlisle en référence aux matchs à rallonge que son équipe a pu connaître.

Tirs Rebonds
Joueurs MJ Min Tirs 3pts LF Off Def Tot Pd Bp Int Ct Fte Pts
Pascal Siakam 78 32.7 51.9 38.9 73.4 1.7 5.2 6.9 3.4 1.4 0.9 0.5 2.4 20.2
Tyrese Haliburton 73 33.6 47.3 38.8 85.1 0.6 3.0 3.5 9.2 1.6 1.4 0.7 1.3 18.6
Bennedict Mathurin 72 29.9 45.8 34.0 83.1 1.2 4.1 5.3 1.9 1.9 0.7 0.3 2.3 16.1
Myles Turner 72 30.2 48.1 39.6 77.3 1.3 5.3 6.5 1.5 1.7 0.8 2.0 2.5 15.6
Aaron Nesmith 45 25.0 50.7 43.1 91.3 0.8 3.1 4.0 1.2 0.8 0.8 0.4 2.5 12.0
Obi Toppin 79 19.6 52.9 36.5 78.1 0.7 3.3 4.0 1.6 0.9 0.6 0.4 1.4 10.5
Andrew Nembhard 65 28.9 45.8 29.1 79.4 0.5 2.8 3.3 5.0 1.7 1.2 0.2 2.3 10.0
T.j. Mcconnell 79 17.9 51.9 30.6 74.0 0.6 1.9 2.4 4.4 1.4 1.1 0.3 1.0 9.1
Isaiah Jackson 5 16.8 60.9 0.0 50.0 2.2 3.4 5.6 1.0 1.0 0.6 1.6 2.8 7.0
Thomas Bryant 56 15.1 51.5 32.1 83.0 1.4 2.5 3.9 0.9 0.5 0.5 0.6 1.2 6.9
Jarace Walker 75 15.8 47.2 40.5 66.7 0.3 2.7 3.1 1.5 1.0 0.7 0.3 1.5 6.1
James Wiseman 1 4.6 50.0 0.0 100.0 0.0 1.0 1.0 0.0 0.0 0.0 0.0 0.0 6.0
Quenton Jackson 28 13.6 47.5 37.5 77.5 0.5 1.1 1.6 1.9 0.6 0.8 0.2 1.5 5.8
Ben Sheppard 63 19.5 41.8 34.2 88.9 0.7 2.1 2.8 1.3 0.3 0.6 0.2 2.0 5.3
Tony Bradley 14 8.1 64.4 33.3 33.3 1.3 1.7 3.0 0.4 0.4 0.1 0.6 0.8 4.4
Moses Brown 9 5.1 65.0 0.0 60.0 0.4 1.0 1.4 0.0 0.7 0.2 0.1 0.7 3.2
Rayj Dennis 11 6.4 33.3 28.6 100.0 0.2 0.9 1.1 1.3 0.5 0.6 0.2 0.6 2.7
Enrique Freeman 22 8.2 43.2 10.0 68.4 0.5 0.9 1.4 0.4 0.3 0.1 0.1 1.0 2.1
Johnny Furphy 50 7.6 38.0 30.0 81.8 0.5 1.0 1.4 0.4 0.2 0.4 0.2 0.8 2.1
James Johnson 12 3.1 36.4 0.0 0.0 0.0 0.5 0.5 0.3 0.3 0.0 0.2 0.4 0.7
Tristen Newton 5 1.6 16.7 0.0 100.0 0.0 0.0 0.0 0.2 0.2 0.0 0.0 0.4 0.6
Jahlil Okafor 1 3.4 0.0 0.0 0.0 0.0 1.0 1.0 1.0 0.0 0.0 0.0 0.0 0.0

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