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Chris Finch s’est senti comme un « petit enfant » au milieu des étoiles

NBA – En plus d’être à la tête d’une sélection de l’Ouest pleine de futurs Hall of Famers, le coach des Wolves a pu croiser son idole, Julius Erving.

Chris Finch« Ouais, on va devoir parler de la défense ! », préfère en rigoler Chris Finch, faussement interviewé par Anthony Edwards qui a tendu le micro à son coach. Le technicien des Wolves, à la tête de la meilleure défense du pays en championnat, se passera de commenter l’orgie offensive qui vient se dérouler.

Plutôt que de s’arrêter sur les 211 points encaissés par sa formation, Chris Finch retiendra donc l’atmosphère dans laquelle a baigné ce match des étoiles. Convié pour la première fois à l’événement, l’entraîneur n’a pas tous les jours l’occasion de côtoyer autant de vedettes.

Se retrouver dans le vestiaire à dessiner quelques grands principes de jeu, en compagnie de « probablement 12 futurs Hall of Famers, c’est quelque chose que je n’oublierai jamais ». Dès la veille du match, au matin, il a vraiment pris conscience du gigantisme et de l’attention médiatique générée par cette grand-messe annuelle. Accompagnée, chez lui, « d’une sorte de nervosité, une excitation nerveuse que tu n’as pas en temps normal ».

« J’ai dit aux gars qu’il n’est pas fréquent, à ce stade de la vie, de se sentir comme un petit enfant lorsqu’on entre dans une pièce et qu’on voit tous ces gars, mais c’est certainement ce que j’ai ressenti hier matin en entrant dans ce vestiaire », livre ainsi Chris Finch.

La rencontre avec Julius Erving

Un sentiment d’autant plus fort que l’ « enfant » en question a pu croiser son « héros », son « idole » : Julius Erving. « J’ai grandi en étant un grand fan des Sixers, vivant à côté de Philly », souligne le natif de l’Ohio voisin.

« Les Sixers étaient bons, ils ont gagné le titre en 1983. J’ai probablement commencé à les regarder en 1976, très jeune. Je ne saisissais pas tout, mais je comprenais que ce gars était assez spectaculaire, qu’il jouait dans un autre registre que les autres à cause de ses qualités athlétiques et de sa grâce », se remémore-t-il ainsi.

Passer un peu de temps avec Dr. J ce week-end avait donc une valeur particulière pour lui : « Je suis dans la ligue depuis un certain temps, j’ai participé à des événements avec lui et je n’ai jamais vraiment demandé une photo ou même pris le temps de me présenter. Mais je ne pouvais pas passer à côté de cette occasion. »

À défaut d’avoir réussi à les faire défendre, il retourne dans le Minnesota avec des étoiles dans les yeux.

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