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EuroBasket 2022 | Présentation du groupe de la France

EuroBasket – Versés dans le « groupe de la mort » aux côtés des redoutables Lituaniens, des Allemands à domiciles, des dangereux Bosniens et des champions en titre de Slovénie, les Bleus vont devoir jouer serré pour parvenir aux phases finales dans de bonnes conditions.

L’EuroBasket 2022 démarre à partir du 1er septembre, dans quatre pays : la Géorgie (groupe A), l’Allemagne (groupe B), l’Italie (groupe C) et la République Tchèque (groupe D), avant que les pays qualifiés pour les phases finales ne se retrouvent en Allemagne, à Berlin.

Avant le début des opérations, Basket USA vous propose une présentation générale des forces en présences dans chaque groupe. Après le Groupe A, où l’Espagne et la Turquie semblent au-dessus du lot, on passe au Groupe B : celui de la France… mais pas que !

Passée à côté de l’événement en 2017, avec une sortie de route prématurée dès les huitièmes face à l’Allemagne, la troupe de Vincent Collet veut pour le coup garder la dynamique de la dernière olympiade, conclue sur une belle médaille d’argent. Avec un effectif remanié, les Bleus n’auront pas le droit à l’erreur dans un groupe très relevé avec l’Allemagne chez elle, la Slovénie tenante du titre ou encore la Lituanie des tours jumelles : Valanciunas et Sabonis… Un sacré programme, sans parler de la Hongrie et de la Bosnie-Herzégovine !

ALLEMAGNE

L’EFFECTIF

Le cinq majeur : Dennis Schröder, Nick Weiler-Babb, Franz Wagner, Johannes Voigtmann, Jonas Wohlfarth-Bottermann

Les remplaçants : Niels Giffey, Justus Hollatz, David Kramer, Maodo Lo, Andreas Obst, Christian Sengfelder, Johannes Thiemann

LE JOUEUR À SUIVRE

Dennis Schröder. A 26 points, 7 rebonds et 7 passes de moyenne sur les deux matchs de qualification de l’Allemagne au début juillet, dont un record (en match qualificatif de l’Euro) à 38 points face à la Pologne, Dennis Schröder a été impérial. L’ancien meneur des Rockets n’a plus manqué de rendez-vous internationaux depuis l’Euro 2015 et celui-ci, à domicile (à Cologne puis Berlin) était immanquable. A 28 ans, Schröder est à son meilleur niveau cet été, toujours plus difficile à contenir en vitesse pour ses adversaires directs et habitué des coups de chaud en adresse. A surveiller comme le lait sur le feu, le meneur allemand aura encore plus de responsabilités après la blessure de Moe Wagner… et on peut compter sur lui pour allumer la mèche en attaque !

FORCES ET FAIBLESSES

Privée de médaille depuis 2005, et une deuxième place sur les épaules d’un immense Dirk Nowitzki MVP (26 points, 11 rebonds de moyenne), la Mannschaft a joué de malchance avant de lancer « son » Euro. Avec les blessures consécutives de Moe Wagner, de Daniel Theis et l’absence de Maxi Kleber, la sélection allemande ne va malheureusement pas se présenter au complet pour cette compétition qui doit la relancer après une Coupe du Monde ratée en 2019 (avec une décevante 18e place).

Sous la houlette de Gordon Herbert, qui a remplacé Henrick Rodl au poste de sélectionneur après les Jeux Olympiques de l’été dernier, l’Allemagne fait partie des équipes les plus impressionnantes sur la préparation, avec une grosse victoire face à la Slovénie (90-71) le weekend dernier en qualificatifs pour la prochaine Coupe du Monde et une belle dynamique en amical (trois victoires pour une défaite). Il faut dire que, malgré les absents de renom, la sélection allemande a encore du talent à tous les postes avec des joueurs de niveau EuroCup, voire Euroleague.

Outre les NBAers du groupe, dont Franz Wagner qui devrait beaucoup apporter grâce à sa polyvalence après une belle saison rookie à Orlando, les Allemands disposent d’un effectif profond et plutôt bien équilibré, avec le percutant Maodo Lo, le vétéran Niels Giffey ou encore le solide Johannes Thiemann qui sortent du banc. La paire Schöder – Wagner peut créer de sacrés dégâts sur la scène européenne. A domicile, l’Allemagne peut frapper un grand coup !

Les absents : Moritz Wagner (blessé), Daniel Theis (?), Maxi Kleber, Isaac Bonga, Isaiah Hartenstein, Tibor Pleiss, Daniel Zipser…

LE BILAN EN PRÉPARATION

3 victoires – 1 défaite
312 points marqués
322 points encaissés
-10

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

6e au classement final (éliminée en quarts (84-72) par l’Espagne)

BOSNIE-HERZEGOVINE

L’EFFECTIF

Le cinq majeur : John Roberson, Dzanan Musa, Aleksandar Lazic, Miralem Halilovic, Jusuf Nurkic

Les remplaçants : Amar Alibegovic, Edin Atic, Rijad Avdic, Sani Campara, Haris Delalic, Luka Garza, Amar Gegic, Kenan Kamenjas,  Ajdin Penava, Ismet Sejfic, Emir Sulejmanovic, Adin Vrabac, Jure Zubac

LE JOUEUR À SUIVRE

Jusuf Nurkic. Après avoir remporté deux titres de MVP de l’Euro (de deuxième division) en catégories de jeunes, Jusuf Nurkic s’était fait plutôt discret en sélection depuis ses débuts NBA à Portland. Mais le pivot titulaire des Blazers est cette fois bien décidé à porter la Bosnie-Herzégovine le plus haut possible pour sa première grande compétition en senior. La « Bosnian Beast » a démontré face à la France (et Rudy Gobert) combien son gabarit associé à son toucher près du cercle pouvait faire des dégâts. Malgré des conditions difficiles (comme ici dans l’avion) avec sa fédération en banqueroute, Nurkic se révèle plus leader que jamais.

FORCES ET FAIBLESSES

Equipe roublarde et culottée, la Bosnie-Herzégovine retrouve la scène continentale pour la première fois depuis 2015. Avec des petits moyens mais un duo majuscule, Jusuf Nurkic – Dzanan Musa, pivot NBA et star européenne respectivement. La sélection des Balkans a pour le coup de fortes chances de pouvoir réussir le meilleur résultat de l’histoire de ce jeune pays, indépendant depuis seulement 1992 et huitième de l’Euro l’année suivante, avec une apparition en quart de finale.

Si le nouveau sélectionneur, Adis Beciragic, aurait bien aimé avoir Luka Garza dans ses rangs (qui en plus est un cousin), la place de naturalisé de l’effectif a été allouée au meneur bien connu du public français, John Roberson. Il faut dire que la raquette bosnienne était déjà bien garnie sans l’ancienne star universitaire d’Iowa avec Nurkic, mais aussi Miralem Halilovic et Emir Sulejmanovic.

Associé à Musa, MVP de la Liga espagnole cette saison soit-dit en passant, Roberson offre une autre menace extérieure qui permet une belle alternance avec la puissance intérieure des Bosniens. Très jeune, avec 26 ans de moyenne d’âge, et plutôt grande à plus de 2m01 de moyenne, la Bosnie aime jouer vite et profiter de sa fougue sur la relance. Le profil d’équipe pas évidente à manoeuvrer sur des matchs couperet…

Les absents : Elmedin Kikanovic, Nemanja Gordic, Nihad Djedovic, Luka Garza, Amar Alibegovic…

LE BILAN EN PRÉPARATION

1 victoire – 1 défaite
163 points marqués
170 points encaissés
-7

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

Pas qualifiée

FRANCE

EFFECTIF

Cinq majeur : Thomas Heurtel, Evan Fournier, Timothe Luwawu-Cabarrot, Guerschon Yabusele, Rudy Gobert.

Remplaçants : Andrew Albicy, Theo Maledon ; Elie Okobo ; Terry Tarpey ; Amath M’Baye ; Vincent Poirier, Moustapha Fall.

LE JOUEUR À SUIVRE

Rudy Gobert. En attendant de découvrir sa nouvelle écurie à la rentrée, dans le Minnesota, Rudy Gobert peut compter sur l’Equipe de France pour conserver ses (bonnes) habitudes. Le triple défenseur de l’année en NBA tient un rôle différent sous la tunique nationale, avec plus de ballons en attaque, que ce soit pour créer pour lui ou créer pour les autres. Mais il reste, encore et toujours, le totem défensif des Bleus. De plus en plus à l’aise dans ce costume de leader, des deux côtés du terrain, Gobert espère bien pouvoir décrocher sa première médaille d’or, après en avoir glané trois en bronze et une en argent (aux derniers JO).

FORCES ET FAIBLESSES

Sans ses tauliers, Nicolas Batum et Nando De Colo, l’Equipe de France se présente à cet Euro avec un effectif rajeuni et forcément moins expérimenté. La polyvalence de Batum et le scoring de De Colo vont évidemment manquer mais les Bleus ont désormais un réservoir de talent suffisant pour compenser.

A commencer par son secteur intérieur, un des grands points positifs de la préparation. Le duo Gobert – Poirier est très complémentaire au relais l’un de l’autre, et peut même évoluer ensemble sur le parquet en version « tours jumelles », un schéma qui pose beaucoup de problèmes aux adversaires, comme on avait pu le constater aux Jeux olympiques.

Le banc de la France est également une des bonnes nouvelles de la prépa, avec Poirier donc, mais aussi Elie Okobo voire Théo Maledon ou Terry Tarpey qui peuvent surgir et se montrer productifs (et très actifs) sur de courtes séquences. La stabilité de Thomas Heurtel et le leadership d’Evan Fournier seront fondamentaux pour équilibrer le navire dans les remous, qui ne manqueront pas d’arriver, à Cologne, et on l’espère plus tard à Berlin.

Faciles en prépa avant d’être ramenés à la dure réalité du terrain en Bosnie, les Bleus ont un clair manque de vécu collectif et il reviendra donc aux tauliers de hausser le ton, avec les retours d’Andrew Albicy et Moustapha Fall qui aident. En attendant le réveil d’Amath M’Baye…

Les absents : Nicolas Batum (repos), Nando De Colo (repos), Joël Embiid (repos), Frank Ntilikina (blessé), Victor Wembanyama…

LE BILAN EN PRÉPARATION

4 victoires – 0 défaite
357 points marqués
281 points encaissés
+76

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

12e au classement final (éliminée en huitièmes (84-81) par l’Allemagne)

HONGRIE

L’EFFECTIF

Le cinq majeur : Adam Hanga, David Vojvoda, Rosco Allen, Szilard Benke, Akos Keller

Les remplaçants : Janos Eilingsfeld, Csaba Ferencz, Marko Filipovity, Gyorgy Goloman, Mikael Hopkins, Kemal Karahodzic, Norbert Lukacs, Zsombor Maronka, Zoltan Perl, Marcell Pongo, Adam Somogyi, Zsolt Szabo, Benedek Varadi

LE JOUEUR À SUIVRE

Adam Hanga. C’est la star incontournable de son équipe. Comme il l’a démontré récemment avec un match à 20 points, et le rebond « clutch » de la victoire face à la République Tchèque. Membre du Real Madrid après avoir passé de belles années du côté de Vitoria et Barcelone, Adam Hanga est l’homme à tout faire pour la Hongrie. Plutôt dévolu à un rôle de défenseur en club, Hanga peut prendre du volume sous la tunique de la sélection. De sa production dépendra le sort de son équipe.

FORCES ET FAIBLESSES

Petit poucet de ce « groupe de la mort », la Hongrie n’a pour ainsi dire plus rien à perdre. Pour sa deuxième participation consécutive à un Euro, ce qui n’était plus arrivé depuis un demi-siècle, la sélection magyare s’envole pour l’Allemagne avec un moral à la hausse après une phase de préparation plutôt positive (trois victoires pour une défaite).

Qualifiés au terme de plusieurs fins de matchs à l’étouffée, la Hongrie sait s’imposer dans la douleur. Ce serait presque leur marque de fabrique à vrai dire… A l’image de ces intérieurs besogneux, tels Akos Keller et Gyorgy Goloman, l’équipe coachée par Stojan Ivkovic (un ancien ailier fort aux vingt ans de carrière en Hongrie) base ses succès sur sa cohésion défensive et une dureté sur l’homme de tous les instants.

Le fait que six joueurs (Perl, Keller, Varadi, Somogyi, Benke, Goloman) évoluaient ensemble cette saison dans le même club, le Falco Szombathely, ne gâche rien. Evidemment pas l’équipe la plus talentueuse du plateau, la Hongrie peut tout de même se targuer d’être menée par Adam Hanga, un joueur calibré Euroleague qui montre l’exemple des deux côtés du terrain. Son noyau dur (Hanga, Vojvoda, Allen, Perl, Keller) était déjà présents à l’Euro 2017. Il s’agira tout simplement de faire encore mieux. Avec l’expérience…

Les absents :

LE BILAN EN PRÉPARATION

3 victoires – 1 défaite
303 points marqués
314 points encaissés
-11

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

16e au classement final (éliminée en huitièmes (86-78) par la Serbie)

LITUANIE

L’EFFECTIF

Le cinq majeur : Rokas Jokubaitis, Ignas Brazdeikis, Rokas Giedraitis, Domantas Sabonis, Jonas Valanciunas

Les remplaçants : Arnas Butkevicius, Martynas Echodas, Marius Grigonis, Mindaugas Kuzminskas, Lukas Lekavicius, Kristupas Zemaitis, Eigirdas Zukauskas

LE JOUEUR À SUIVRE

Domantas Sabonis. Echangé en cours de saison, Sabonis n’a pas baissé de pied à Sacramento, avec 19 points, 12 rebonds et 6 passes de moyenne. All-Star en NBA, mais en clair manque de playoffs (avec seulement 13 matchs en 6 saisons), l’intérieur gaucher a tout de même déjà goûté aux matchs à haute tension, avec notamment une médaille d’argent à l’Euro 2015 en France. Mais comme Gobert, il n’a jamais réussi à soulever le trophée et ramener l’or à la maison. Usine à basket avec sa capacité à scorer, à passer, et à se faire sa place dans la peinture (comme le pater), Sabonis doit désormais démontrer qu’il peut mener son équipe au sommet.

FORCES ET FAIBLESSES

Nation déçue hier, par cette défaite cruelle dans son propre TQO, avec le fameux cliché d’un Luka Doncic tout sourire et Arvydas Sabonis à ses côtés, abattu derrière son masque, la Lituanie est une équipe ambitieuse et revancharde pour cet Euro 2022. Derrière son duo d’intérieurs NBA, Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis, la sélection balte peut décemment viser une médaille et mettre fin à six ans de disette.

Le nouveau coach, Kazys Maksvytis, a une sacrée pression sur les épaules. En plus de trouver le meilleur moyen de faire briller simultanément Valanciunas et Sabonis (qui peuvent tous deux s’écarter à ce stade de leur carrière), il va devoir faire oublier la première non qualification des Baltes aux JO ! Issu du giron de la fédération, après avoir notamment glané quatre médailles d’or consécutives en catégories de jeunes (entre 2008 et 2012 avec la génération Valanciunas – Ulanovas), Coach Maksvytis semble avoir trouvé un bon rythme de croisière avec un impressionnant bilan en prépa : 7 victoires en autant de matchs !

Surtout, le duo intérieur est de mieux en mieux entouré. S’il y avait déjà les supers shooteurs, Marius Grigonis et Lukas Lekavicius, ou encore le vétéran Mindaugas Kuzminskas, la nouvelle génération est elle aussi en train de monter en régime. Rokas Jokubaitis et Ignaz Brasdeikis incarnent ainsi ce coup de jeune. Un coup de boost offensif bienvenu sur les postes extérieurs sachant que l’adresse lituanienne à 3-points est souvent fluctuante…

Les absents : Donatas Motiejunas, Edgaras Ulanovas, Arturas Gudaitis, Tadas Sedekerskis…

LE BILAN EN PRÉPARATION

7 victoires – 0 défaite
591 points marqués
492 points encaissés
+99

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

9e au classement final (éliminée en huitièmes (77-64) par la Grèce)

SLOVENIE

L’EFFECTIF

Le cinq majeur : Luka Doncic, Jaka Blazic, Aleksej Nikolic, Vlatko Cancar, Mike Tobey

Les remplaçants : Ziga Dimec, Goran Dragic, Zoran Dragic, Edo Muric, Klemen Prepelic, Luka Rupnik, Ziga Samar

LE JOUEUR À SUIVRE

Luka Doncic. « Il y a cinq ans, il découvrait la sélection. Maintenant, il en est le leader. » Goran Dragic a bien résumé la situation. Comme à Dallas où il est omnipotent dans le jeu, Luka Doncic est le grand manitou de la Slovénie. Héroïque l’été dernier où il a sorti sa sélection d’un tournoi pré-olympique à Kaunas pour venir tomber au pied du podium à Tokyo, le « Wonderboy » slovène est de retour pour défendre la couronne acquise en 2017 à Istanbul. Attention tout de même à ne pas en faire trop car sa cheville a tourné face à l’Allemagne, et il ne faudrait pas compromettre la saison à venir.

FORCES ET FAIBLESSES

Un titre européen par million d’habitants ? Pour la dernière danse du Dragon, Goran Dragic, la Slovénie vise tout simplement le doublé, ce qui représenterait un exploit incommensurable pour une nation de 2 millions d’habitants. Mais quand on a Luka Doncic dans son effectif, tout est possible. Le triple All-Star NBA va de nouveau faire équipe avec Dragic et ce duo a de quoi faire flamber plus d’une défense européenne. Surtout avec une belle brochette de scoreurs dans les ailes qui trépignent aussi de valider leurs « ticket shoots ».

Tenants du titre et parmi les favoris (avec les Bleus) d’un dernier sondage réalisé par la FIBA pour soulever à nouveau le trophée, la troupe slovène menée par Aleksander Sekulic a de sacrés arguments. Doncic est l’argument massue, bien évidemment, mais derrière, il y a encore plusieurs lames. Avec Dragic donc, mais aussi Mike Tobey à l’intérieur, véritable casse-tête sur le pick&roll. Plus Vlatko Cancar, le kamikaze du dunk qui peut aussi faire mal derrière l’arc. Sans oublier Klemen Prepelic, plus connu pour être la victime du contre historique de Batum à Tokyo, mais un redoutable micro-onde offensif.

Equipe tournée vers l’offensive, la Slovénie a certes percuté un mur face à l’Allemagne, mais sa préparation à six victoires en six matchs (face à des gros clients) a pu donner quelques certitudes au staff technique. Le secteur intérieur paraît un peu léger avec seulement deux joueurs au-dessus des 2m03, mais c’est le jeu des Slovènes : rapide et instinctif. Le génie de Doncic et le coeur de Dragic feront le reste…

Les absents :

LE BILAN EN PRÉPARATION

6 victoires – 0 défaite
534 points marqués
493 points encaissés
+41

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

Médaille d’or (victoire 93-85 face à la Serbie)

LE CALENDRIER DU GROUPE B

Jeudi 1er septembre 2022

  • Bosnie-Herzégovine – Hongrie (14h30)
  • Slovénie – Lituanie (17h15 – Canal+)
  • France – Allemagne (20h30 – Canal+)

Samedi 3 septembre 2022

  • Allemagne – Bosnie-Herzégovine (14h30)
  • Lituanie – France (17h45)
  • Hongrie – Slovénie (20h30)

Dimanche 4 septembre 2022

  • Lituanie – Allemagne (14h30)
  • Slovénie – Bosnie-Herzégovine (17h45)
  • France – Hongrie (20h30)

Mardi 6 septembre 2022

  • Bosnie-Herzégovine – France (14h30)
  • Hongrie – Lituanie (17h15)
  • Allemagne – Slovénie (20h30)

Mercredi 7 septembre 2022

  • Lituanie – Bosnie-Herzégovine (14h30)
  • France – Slovénie (17h15)
  • Hongrie – Allemagne (20h30)

A lire aussi : la preview du Groupe A

Crédits photo : FIBA

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