On était inquiet pour les Bulls avec leurs neuf nouveaux joueurs, et la cohabitation en attaque entre Rajon Rondo, Dwyane Wade et Jimmy Butler, mais finalement, Chicago a pris la saison par le bon bout. Cette nuit, face à des Pacers diminués et fatigués, les Bulls s’imposent 118-101 avec 23 pts de Doug McDermott, 16 pts de Jimmy Butler, mis sur orbite par les 13 pds de Rajon Rondo.
Après un premier quart-temps équilibré marqué par quelques jolis moves signés Dwyane Wade et Paul George, les Bulls prennent les devants dans le deuxième quart-temps. Taj Gibson domine des deux côtés du terrain. Rajon Rondo pousse le ballon au maximum, et les Pacers explosent ! Ils encaissent 19 points sur contre-attaque, et Chicago s’envole : 38 points inscrits dans le quart-temps, et +21 à la pause (62-41). L’absence du tandem Stuckey-Brooks limite les rotations, et face à une équipe physique et rapide, Indiana a craqué.
La réaction d’orgueil du banc des Pacers
Confirmation au retour des vestiaires avec des titulaires qui se chargent de porter l’écart à 25 points (92-67).
Fred Hoiberg peut alors faire souffler ses stars, et c’est le duo Canaan-McDermott qui se charge de finir le boulot. L’écart grimpe à 29 points (102-73) avant que les Bulls ne s’endorment complètement. Les Pacers leur collent un 28-9 pour revenir à -11 à deux minutes de la fin. Kevin Séraphin se montre, Joe Young aussi… Mais finalement, Michael Carter-Williams puis Bobby Portis se chargent de les maintenir à distance pour décrocher une deuxième victoire en deux matches à domicile.