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Gros plan sur les alley-oops à l’ultime seconde

NBA: Phoenix Suns at Memphis GrizzliesHier soir, Jeff Green a offert la victoire à Memphis sur un alley-oop au buzzer. Alors qu’il ne restait que huit dixièmes de seconde, Dave Joerger a ainsi décidé de mettre en place un système afin de libérer son ailier, suite à un écran de Mike Conley sur PJ Tucker. Grâce à une belle passe de Courtney Lee, l’ancien Celtic pouvait claquer le dunk de la victoire.

grizzlies

Donner de l’espace près du cercle

Même s’il est plutôt malin que l’écran libérateur soit placé par le meneur, le système ressemble à tous les schémas mis en place dans la dernière seconde de jeu. Lorsqu’il n’y a plus que quelques secondes à l’horloge, un shoot « à la Derek Fisher » est très improbable et les coachs décident très souvent de tenter de libérer un joueur vers le cercle.

En général, c’est grâce à un « curl », c’est-à-dire qu’un joueur remonte puis tourne autour d’un partenaire pour se relancer vers le cercle et être servi avec un temps d’avance. C’est par exemple ce qu’avaient fait les Wizards avec Bradley Beal.

Ou encore les Celtics avec Rajon Rondo.

Passeur sur ce coup, Courtney Lee est d’ailleurs un habitué de ces systèmes puisqu’il en avait conclu un l’an passé, face à Sacramento. Et il en avait raté un autre, lors des Finals 2009 face aux Lakers. À l’époque, il jouait à Orlando…

Le principe est donc plus ou moins toujours le même : trouver un moyen de ralentir le défenseur afin d’offrir suffisamment d’espace à celui qui fonce vers le cercle pour réaliser un alley-oop. Parfois, les attaques utilisent néanmoins cette habitude pour tromper leurs adversaires. Les Spurs s’en souviennent puisque le Magic les avait piégés avec Dwight Howard, en 2007, alors qu’il semblait avoir le rôle du poseur d’écrans, et que les Blazers avaient fait la même chose en 2011, Nicolas Batum se servant de Brandon Roy pour feinter l’écran et filer vers le panier.

Pourquoi ne pas faire « zone » ?

Mais dans ces situations, on se demande toujours pourquoi les équipes prennent le risque de prendre du retard sur un écran ou de faire face à un souci de communication. Lorsqu’il reste si peu de temps à jouer, c’est finalement Stan Van Gundy qui a la meilleure technique, lorsqu’il dit à son équipe de simplement « former un putain de mur ».

On voit ainsi San Antonio dérouler son système dans le vide sans pouvoir s’approcher du cercle. Idem pour les Wizards face aux Celtics, qui s’étaient mis en « zone » afin de protéger l’accès au panier et ne laisser qu’un tir extérieur.

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