Tony Parker mate le Magic dans le money time

On vous l’avait annoncé dans notre coin des français : Tony Parker est dans une forme olympique en ce moment. Le patron des Bleus se paye un 3ème match de suite à plus de 30 points, dont 16 dans le dernier quart, pour repousser les assauts de Dwight Howard et Orlando (122-111).

Trois rounds d’observation avant le KO

Avec une présence médiatique renforcée aux abords du AT&T Center, le Magic commençait son match dans de bonne dispositions. Jameer Nelson était ainsi aux taquets en commençant son match avec 5 réussites à trois points à 7/8 aux tirs pour Orlando. Dwight Howard était également présent à l’appel contre Duncan.

Mais les Spurs ne paniquaient pas, Gary Neal décochait même une flèche à 9 dixièmes du buzzer pour finir la première période en tête. Cet écart était conservé à la pause (59-58). A vrai dire, il fallait attendre le dernier quart pour voir la rencontre basculer définitivement en faveur des texans.

« Tony peut jouer à 1 contre 3 en ce moment » (Ginobili)

Et comme toujours cette année pour les Spurs, le sauveur allait être Tony Parker. Le meneur  prenait les choses en main dans le clutch avec notamment deux paniers consécutifs pour faire passer l’écart à +7 (105-98) à quelques encablures de l’arrivée.

Il inscrivait pas moins de 16 points dans la dernière période pour terminer la partie avec 31 points et 12 passes pour ralentir la cadence actuelle du Magic qui restait sur 5 victoires lors de ses 6 dernières sorties. Duncan ajoute 21 points et 13 rebonds alors que Ginobili se contente de 14 unités en sortie de banc.

Côté floridien, le maillon faible aura été JJ Redick. Si brillant contre Indiana, l’ancien Dukie n’a pas trouvé la mire (3/8) cette fois-ci, et l’absence de Jason Richardson s’est lourdement fait ressentir sur ce match. Howard termine malgré tout à 22 points et 12 rebonds. Mais c’est Nelson qui est le meilleur scoreur avec 25 points et 7 passes.

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