NBA
Ce soir
NBA
Ce soir
GSW
HOU3:00
Pariez en ligne avec Unibet
  • GOL1.45HOU2.78Pariez
  • DEN1.83LA 1.94Pariez
  • 100€ offertsLa suite →

[Culture club] Des Lakers à New Jersey, le cinq idéal sur la période 1991-2011

A l’occasion des 20 ans de « Mondial Basket », nous avons sélectionné, pour chaque franchise, le cinq idéal sur les deux dernières décennies, c’est-à-dire la période 1991-2011.

D’accord, pas d’accord avec les choix de la rédaction ? A vous la parole !

LOS ANGELES LAKERS

Magic Johnson – Kobe Bryant – James Worthy – Pau Gasol – Shaquille O’Neal

Le choix est vaste dans une franchise qui a collectionné les titres de champion. Magic Johnson a remporté cinq bagues à l’époque du showtime avec Kareem Abdul-Jabbar et James Worthy, notamment. Il a joué jusqu’en 1991 avant de revenir, après un break de quatre ans, en 1995-96. Worthy a martyrisé les défenses jusqu’en 1994 avant d’entrer au Hall of Fame en 2003, avec sept Matches des Etoiles au compteur. On fait dans le temps présent avec Kobe Bryant, inégalable (ou du moins inégalé) au poste de shooting guard, et Pau Gasol dans le frontcourt. Evidemment, le poste 5 revient à Shaquille O’Neal qui réalisa le « threepeat » au début de la décennie 2000. C’était Big Shaq Daddy, le franchise player à l’époque.

 

MEMPHIS

Jason Williams – Mike Miller – Rudy Gay – Shareef Abdur-Rahim – Pau Gasol

Le top scoreur Shareef Abdur-Rahim a disputé quatre saisons à Vancouver, ancienne tanière des Grizzlies avant le déménagement à Memphis au début de la décennie 2000. Il fut cédé à Atlanta en 2001 contre Pau Gasol notamment. Ce dernier s’empara du leadership et mena la franchise à ses premiers playoffs. Les Grizzlies prirent goût à la postseason même si les sweeps s’enchaînèrent. L’Espagnol a été Rookie de l’année en 2002. Les trois autres joueurs retenus – Jason Williams, Mike Miller, Rudy Gay – s’imposent aux postes 1 à 3. « J-Will » s’affichait à 12 points et 7.5 passes de moyenne dans le Tennessee, sur quatre saisons. Mike Miller, lui, a shooté à plus de 41% derrière l’arc.

 

MIAMI

Dwyane Wade – Eddie Jones – Glen Rice – Alonzo Mourning – Shaquille O’Neal

Lorsqu’il évoluait avec le Shaq, Alonzo Mourning jouait parfois power forward. D’où l’association dans le frontcourt de ces deux mastodontes, champions ensemble à Miami en 2006. « Zo » demeure le leader de la franchise aux rebonds et aux blocks. Shaq est venu apporter un titre à Dwyane Wade. Les deux sont indissociables dans la réussite de cette équipe aujourd’hui reconstruite royalement autour du « Méga 3 ». « Flash » a porté cette équipe depuis si longtemps que les deux postes arrières lui conviennent invariablement. Le voici point guard histoire de dégager un spot pour Eddie Jones, épaulé par Glen Rice sur l’aile. Entre 2000 et 2004, Jones prit le relais de Rice (1991-95) pour le leadership aux points. Jamal Mashburn, récompensé par une place dans le cinq des Mavs, et Tim Hardaway, retenu à Golden State, auraient pu prétendre à une petite mention, de même que Steve Smith, déjà recalé à Atlanta.

 

MILWAUKEE

Sam Cassell – Michael Redd – Glenn Robinson – Vin Baker – Andrew Bogut

Voici un cinq qui tient la route, drivé par le « Chinois » Sam Cassell, deuxième meilleur passeur de la franchise derrière le dieu Oscar Robertson. Michael Redd, bien fragile ces dernières années, reste le meilleur scoreur des Bucks sur les six dernières saisons tandis que Glenn « Big Dog » Robinson, deuxième scoreur de l’histoire de la franchise, a toujours su montrer les crocs. Il est crédité de 21.1 points de moyenne. C’est aussi chez les Bucks que le power forward Vin Baker décrocha trois capes pour le All-Star Game, en 1995, 96 et 97. Place au futur en revanche pour le poste de pivot avec l’Australien Andrew Bogut, retenu dans le troisième cinq NBA la saison dernière.

 

MINNESOTA

Stephon Marbury – Isaiah Rider – Tom Gugliotta – Kevin Garnett – Al Jefferson

Avant d’être Celtic, « KG » était Loup. Et même MVP en 2004 ! Avant d’être Wolve, Al Jefferson était Celtic. Qui pouvait le contrarier sur ce poste 5 ? Michael Olowokandi avec ses 6 points et 5 rebonds ? « Big Al », c’est 20.1 points et 10.4 rebonds de moyenne à Minnesota. Cas de conscience sur l’aile où des hommes de valeur comme Tony Campbell, Sam Mitchell et Wally Szczerbiak se sont relayés pour aider Kevin Garnett. Le jackpot revient à Tom Gugliotta, power descendu d’un cran. Il fut All-Star en 1997 sous les couleurs vertes et bleues. Derrière, on trouve deux phénomènes qui auront profité du bon air de Minneapolis pour se montrer sous leur meilleur jour (ça n’allait pas durer, en tout cas pas dans la région des Grands Lacs) : Stephon Marbury, choisi au détriment de Terrell Brandon car meilleur passeur et marqueur, et Isaiah Rider, top scoreur des Wolves entre 1993 et 96.

 

NEW JERSEY

Jason Kidd – Drazen Petrovic – Richard Jefferson – Derrick Coleman – Brook Lopez

Les stats de Derrick Coleman chez les Nets – 19.9 points, 10.6 rebonds, 1.6 block – plaident très nettement en sa faveur comparées à celles de l’autre power dominant de ces vingt dernières années à New Jersey, Kenyon Martin (15.1 pts, 7.6 rbs). Jason Kidd et Richard Jefferson ont mené leur team en Finales NBA à deux reprises (en 2002 et 2003) et ne peuvent être inquiétés sur leur poste. Vince Carter a plus marqué les supporters de Toronto que les fans des Nets. Drazen Petrovic, le petit Mozart du basket européen, avait trouvé ses marques chez les Nets entre 1991 et 93. Il fut injustement boudé pour un All-Star Game mais récompensé avec une sélection dans le troisième cinq NBA. Dessous, on ne s’est pas bousculé pour dominer, d’où la titularisation de celui qui incarne l’avenir de la franchise : Brook Lopez.

A suivre…

Suivez toute l'actualité NBA sur la chaîne WhatsApp de Basket USA

Suivez nous également sur Google Actualités

Commentaires
Forum (et HS)  |   +  |   Règles et contenus illicites  |   0 commentaire Afficher les commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *