Drafté en 36e position par les Sixers en 2017, Jonah Bolden s’apprête à découvrir la NBA après un an en couveuse du côté du Maccabi Tel Aviv. L’ailier fort, qui avait choisi de quitter UCLA il y a deux saisons pour s’aguerrir en Europe, débarque dans un effectif jeune mais déjà bien installé dans la conférence Est, et bien hiérarchisé : il faudra batailler pour s’y faire une place, et il en est conscient.
« Je ne sais pas si vous essayez d’éviter de prononcer ce mot », dit-il en s’adressant au Brisbane Times, « mais oui il y aura de la pression sur l’équipe. Personnellement, je mets le plus gros de la pression sur moi-même. Je pense que c’est comme ça pour un paquet de gars, surtout en NBA.
« Leur super niveau de l’an passé va définir les objectifs pour la saison », estime-t-il, « et je pense tout ce qui sera en-dessous d’une finale de conférence serait, logiquement, un échec aux yeux de l’équipe et du coaching staff. »
Le ton est donné.