En 2011, après le titre, Mark Cuban avait décidé de garder de la masse salariale pour tenter d’attirer Dwight Howard l’été d’après. Il avait donc laissé filer Tyson Chandler aux Knicks et n’avait proposé qu’un contrat d’un an à J.J. Barea, qui avait logiquement préféré l’offre de 18 millions sur quatre saisons des Wolves.
Mais après trois ans sans playoffs et des derniers mois au bout du banc, le meneur portoricain est heureux de rentrer dans le Texas, qu’il aimerait ne jamais avoir quitté.
« J’aurais aimé ne jamais partir », assure-t-il. « Mais les choses arrivent pour une raison ».
Dans ce cas-là, ça s’appelle l’argent mais J.J. Barea veut désormais retrouver le goût de la victoire.
« Les playoffs, ça m’a manqué. Je suis très heureux de revenir. J’ai vécu les cinq plus belles années de ma vie ici. J’espère qu’on peut remettre ça ».
Décisif face à Miami lors des Finales 2011, le meneur s’était perdu chez les Wolves. Il assure qu’il fera tout ce que Rick Carlisle lui demande de faire, confiant dans le fait que son coach saura l’utiliser.
« On verra tout ça », confie l’entraîneur. « Nous avons beaucoup d’options donc nous avons beaucoup de possibilités par rapport à la taille ou aux matchups. C’est un bon problème à avoir et je suis content de l’avoir ».