En février dernier, la NBA a annoncé qu’elle allait créer une salle, version NASA, pour centraliser l’étude des ralentis et ainsi aider les arbitres. Jusqu’à présent, c’était en effet encore artisanal, avec des officiels qui revoyaient les actions, en fin de match, pour savoir si un joueur avait mis un pied sur la ligne ou s’il avait touché le ballon en cas de touche.
À Secausus, dans le New Jersey, des experts vont désormais analyser les images en temps réel afin de proposer aux arbitres les images les plus parlantes, le plus rapidement possible.
Les arbitres auront toujours le dernier mot mais ils pourront, dès le premier match de la saison régulière, obtenir le meilleur ralenti afin de se faire leur avis le plus vite possible. Le but est ainsi de ne pas trop ralentir le jeu et de garder des fins de match fluides en limitant les interruptions.