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Coacher Team USA, une coupure nécessaire pour Stephen Silas

NBA – Après un début de carrière catastrophique comme « head coach » dans la Grande Ligue, l’ancien technicien des Rockets peut souffler en s’occupant de l’équipe nationale américaine.

Stephen SilasIl n’est pas exagéré de dire que les débuts de Stephen Silas sur les bancs de la NBA ont été catastrophiques. Certes, il n’a pas été aidé par les transferts de Russell Westbrook et James Harden dans la foulée de sa signature à Houston en 2020.

Néanmoins, il a terminé son aventure texane après trois saisons avec seulement 59 succès et surtout 177 défaites. Ensuite, il a rebondi à Detroit, en tant qu’assistant de Monty Williams, pour une nouvelle saison cauchemar en 2023/24 : 14 victoires et 68 défaites…

L’été dernier, l’ancien coach des Rockets n’a pas retrouvé de poste dans la Grande Ligue, et il a dans la foulée été sollicité par USA Basketball pour s’occuper de l’équipe nationale pendant les fenêtres de qualification de l’Americup en ce mois de novembre puis en février 2025.

« J’aimerais être de nouveau entraîneur en NBA, mais je ne sais pas si c’est vraiment connecté à ma décision de diriger cette équipe. L’opportunité s’est présentée et être le coach de Team USA, c’est plutôt cool, peu importe les circonstances », explique-t-il à The Athletic.

« Prendre du recul, profiter de ma famille et être avec Team USA, c’est cathartique pour moi »

Cette coupure avec la NBA arrive au bon moment pour Stephen Silas, vidé par ses expériences ratées à Houston et Detroit. Être coach, c’est déjà épuisant et exigeant mais quand on perd aussi souvent, ça devient pesant.

« Je profite des moments de famille et c’est important car mon père (l’ancien coach Paul Silas) est décédé il y a deux ans et j’ai une fille qui est au lycée. Je peux aller aux réunions parents-profs, être à la maison quand elle rentre », raconte-t-il. « C’est vraiment agréable et j’en avais sans doute besoin après trois années à Houston et une à Detroit, très peu réussies. Prendre du recul, profiter de ma famille et être avec Team USA, c’est cathartique pour moi. »  

Peut-être aussi que cela fonctionnera comme un tremplin. Après tout, Jim Boylen fut également le sélectionneur de Team USA, pour les qualifications de la Coupe du monde 2023, après une expérience, elle aussi ratée, à Chicago. Et désormais, il est sur le banc d’Indiana pour assister Rick Carlisle. « Il aura une nouvelle chance en NBA. Il est trop bon », estime Frank Kaminsky.

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