Originaire du New Jersey, Karl-Anthony Towns n’imaginait jamais revenir près de chez lui, pour jouer aux Knicks, cette franchise qui le faisait rêver gamin. Que ce soit au niveau du quotidien ou de la pression médiatique, c’est un vrai changement de décor, et l’intérieur All-Star avoue qu’il a toujours du mal à y croire.
« Hier soir, pendant le dîner, ma petite amie m’a regardé et m’a tapé sur l’épaule en me disant : ‘T’y crois que c’est notre vie maintenant ?’ Nous sommes tous les deux encore sous le choc » avoue-t-il. « Même si j’y vais rarement, il y a des moments sur les réseaux sociaux, où je suis un peu confus lorsque je reçois des informations sur les Wolves ».
Des retrouvailles « bizarres »
Eh oui, Karl-Anthony Towns est aux Knicks, et il n’a plus besoin de programmer des notifications sur l’actualité des Wolves, et la priorité, c’est déjà de trouver un logement.
« On ne s’est pas encore posé. Ce n’est que mon quatrième jour à New York. Je prends les choses comme elles viennent » explique-t-il, rappelant au passage que les Knicks ont effectué leur camp d’entraînement à Charleston, et qu’il vient seulement d’arriver dans la « Big Apple ».
Hasard du calendrier, il retrouve ses anciens coéquipiers dès ce soir ! « Cela va être bizarre. Ce sera vraiment bizarre… » reconnaît l’ancien « franchise player » de Minnesota. « Mais c’est le business, et ce n’est qu’un match » ajoute-t-il, prêt à faire du « trashtalk » avec Anthony Edwards. « C’est mon frère. Dès que j’entends son nom, j’ai le sourire ! »