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La stratégie du Heat avec son 27e choix de Draft ? Viser le meilleur joueur encore disponible

Draft – Tant pis si cette sélection ne permet pas aux Floridiens de se renforcer au poste 4, où ils pourraient manquer de monde.

Si P.J. Tucker venait à ne pas activer sa « player option » cet été (7.3 millions de dollars), le Heat n’aurait plus aucun poste 4 sous contrat pour l’an prochain. L’autre intérieur concerné, Markieff Morris, arrivant en fin de contrat. Se renforcer grâce à la Draft donc ? Pas une mince affaire quand on ne dispose que du 27e choix…

Surtout, la priorité n’est pas nécessairement de répondre à un besoin. « On ne veut pas se retrouver dans un an et se dire qu’on a sélectionné pour répondre à un besoin et qu’on a laissé passer un joueur qu’on pensait être un meilleur talent, juste parce qu’on avait besoin à un poste », affiche ainsi Adam Simon, le vice-président des opérations basket de la franchise.

Un bon exemple récent en la matière date de 2017 quand le Heat a récupéré Bam Adebayo, à la 14e place, alors que Hassan Whiteside, jouant au même poste, était déjà dans l’effectif. Avec quelques années de recul, cette décision leur a clairement été profitable. De la même façon, les Floridiens ont sélectionné Tyler Herro en 2019 (13e pick) alors que Josh Richardson, Justise Winslow ou Dion Waiters étaient déjà en poste à l’arrière.

« Je m’y penche à certains moments, quand on peut combler (les besoins) avec la free agency », poursuit le dirigeant. « Durant la Draft, on essaye de trouver quelqu’un qu’on peut développer parce qu’on l’a sous contrat pour quelques années ou plus. J’essaie donc toujours de trouver les meilleurs talents. C’est déjà assez difficile de les mettre dans l’ordre, du 27e au 60e choix, ou cette année avec le n°58. »

De toute façon, Adam Simon sait bien que la Draft « n’est pas une science exacte. On a eu beaucoup de succès avec nos choix, et pour ceux qui ont bougé, qu’ils aient été échangés ou que cela n’ait pas fonctionné, on leur souhaite le meilleur. Évidemment, on veut qu’ils réussissent, sinon vous allez nous dire qu’on a raté le choix. […] Au final, c’est parfois une question de situation, de savoir si ce joueur convient à votre équipe ou s’il n’a pas eu l’occasion de jouer. […] Parfois, on n’obtient pas le meilleur d’un joueur avant sa deuxième équipe ou son deuxième contrat. »

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