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Free agency : les meilleurs ailiers-forts encore disponibles

NBA: MAR 06 Mavericks at Nuggets

Si le vivier de joueurs libres de tout contrat se vide de jour en jour, il reste quelques éléments intéressants, notamment sur le poste d’ailier-fort. Prévu en dernière position de ce classement, Andrea Bargnani n’a pas eu la patience d’attendre, préférant rejoindre Vitoria.

1) David Lee (Mavericks)
Champion NBA en 2015, David Lee reste un joueur sans port d’attache. Après sa saison difficile à titre personnel avec Golden State, il n’a pas su s’imposer comme espéré à Boston. L’ex-chouchou du Garden est devenu un vétéran respecté mais sans véritable valeur sportive. Sa présence dans une équipe reste positive, ne serait-ce qu’en termes de cohésion et son passage aux Mavs fut productif, mais cela ne suffit visiblement plus à convaincre une franchise…
Stats 2015-16 : 7.8 pts à 53.1%, 5.5 rbds, 1.5 pd en 16.4 min (55 matchs)

2) Josh Smith (Rockets)
Intéressant pour les Rockets lors des playoffs 2015, Josh Smith a ensuite tenté sa chance aux Clippers mais sa relation avec le staff s’est détériorée et il est finalement revenu à Houston… sans le même succès que l’année précédente. Désormais bien moins intéressé par la défense que par le shoot longue distance, l’ailier-fort n’est plus que l’ombre de lui-même, à seulement 30 ans. Sa dernière saison fut calamiteuse et il lui faudra dorénavant travailler d’arrache-pied pour rebondir. Il a le talent pour, quant à la volonté, c’est moins sûr.
Stats 2015-16 : 6 pts à 36.4%, 28.7% à 3-pts, 3.5 rbds, 1.6 pd, 0.9 ct en 16 min (55 matchs)

3) Thomas Robinson (Nets)
Depuis son arrivée dans la ligue, Thomas Robinson est une énigme : sa combativité, son sens de l’engagement et sa science du rebond n’ont rien à envier à qui que ce soit dans la ligue mais il ne parvient jamais à trouver une place durable. Un temps « protégé » par les Nets, il se retrouve désormais totalement libre. À 25 ans, il serait néanmoins injuste qu’une équipe ne lui offre pas sa chance, d’autant qu’il a montré son utilité avec des responsabilités. Cette saison, il a compilé 14.6 pts à 54.4%, 12.3 rbds, 2 pds et 1.6 ints en 28 min lors de ses 7 titularisations.
Stats 2015-16 : 4.3 pts à 44.7%, 5.1 rbds en 12.9 min (71 matchs)

4) Carlos Boozer
C’est l’invité surprise de cette free agency puisqu’il n’a pas joué de la saison dernière en NBA. À 34 ans, il n’a pourtant pas tiré un trait sur sa carrière et au regard de son expérience, de son palmarès (double All-Star, double médaillé olympique) et même de sa dernière saison (11.8 pts à 49.9%, 6.8 rbds en 23.8 min), il est difficile de penser qu’il n’a plus sa place dans la grande ligue. Monstre à stats mais trou défensif, Carlos Boozer n’est pas toujours irréprochable mais est-ce le seul en NBA ? Même après une année sabbatique, il doit lui rester de meilleurs restes que nombre de joueurs actuellement sous contrat.

5) J.J. Hickson (Wizards)
Coupé par Denver puis récupéré par Washington, J.J. Hickson a fait ce qu’il a toujours fait depuis son arrivée dans la ligue : des stats. Fruste offensivement, lacunaire dans sa compréhension du jeu et défenseur médiocre, l’intérieur n’a jamais accompli la progression espérée. À 27 ans, il peut toujours prétendre à une place dans un effectif NBA mais davantage en tant que roue de secours, en cas de blessure. L’été pourrait être long pour l’ancien de North Carolina State.
Stats 2015-16 : 5.9 pts à 51.6%, 3.8 rbds en 12.5 min

Mais aussi : Jason Thompson, Charlie Villanueva, Matt Bonner, Lou Amundson, Ryan Kelly, Tyler Hansbrough

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