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À Atlanta, Tiago Splitter n’est pas dépaysé…

tiago-splitterEnvoyé à Atlanta afin de pouvoir faire la place pour LaMarcus Aldridge, Tiago Splitter quitte donc les Spurs après cinq ans de bons et loyaux services. Avec une bague en poche aussi…

« Ce genre de choses arrive en NBA. Je savais que ça pouvait arriver, que je pouvais me faire transférer. C’est une nouvelle étape de ma carrière et j’en suis heureux. À Atlanta, le système de jeu est très similaire à celui des Spurs. L’entraîneur, Mike Budenholzer, était assistant de Popovich. Son assistant, Neven Spahija, me connaît bien parce qu’il m’entraînait en Espagne [à Vitoria lors de la saison 2007-08]. La transition se passe très bien du coup. Il y a beaucoup de personnes que je connais déjà. J’espère pouvoir aider l’équipe. »

Pour le pivot brésilien, pas de ressentiment et d’amertume par rapport à ses anciens employeurs. Au contraire, il s’estime heureux d’avoir pu côtoyer Gregg Popovich, Tim Duncan, Tony Parker et les autres…

« Oui, c’est probablement le meilleur entraîneur du monde et j’ai beaucoup appris à ses côtés. Il m’a appelé pour me remercier de mon travail, » explique Splitter pour As. « Tous mes coéquipiers, de Tim Duncan aux plus jeunes, m’ont également tous appelé pour me souhaiter bonne chance et me remercier. C’était très touchant. J’ai aimé aider Duncan à gagner plus d’années, c’était un rêve de pouvoir faire partie de cette franchise. »

Désormais, le pivot vétéran va venir aider les Hawks à poursuivre leur progression. Après une saison fantastique, la franchise de Géorgie compte bien rester sur sa belle lancée, et la polyvalence défensive de Splitter, ainsi que son expérience du plus haut-niveau, seront des arguments de poids pour coach Budenholzer.

Mais l’an prochain, c’est aussi l’année olympique, et pour Tiago Splitter, cela signifie jouer à domicile à Rio de Janeiro. Forcément, une perspective enchanteresse.

« Oui, tout le monde parle du fait de détrôner les Etats-Unis. Si je suis disponible, j’essaierai pour sûr d’en faire partie. Après 30 ans, il y a une barrière psychologique mais je me sens bien et j’espère jouer encore plusieurs années car le basket est ma passion. Je veux encore essayer d’être champion NBA et obtenir une médaille avec ma sélection nationale. »

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