Le match face à l’Allemagne a montré que, sans Tony Parker, l’équipe de France pouvait avoir beaucoup de mal à mettre en place son jeu offensif. Un aspect qu’il va évidemment falloir travailler.
« Si la fin de match peut être gênante, c’est tout de même intéressant d’avoir eu à travailler », a expliqué Vincent Collet après la rencontre. « C’est parti d’un vrai relâchement. Bien sûr, le fait d’avoir fait tourner l’effectif ne contribue pas à asseoir l’équipe. Malgré tout, pendant 27 minutes, cela n’avait pas été un souci, car tout le monde avait été au diapason et là, à ce moment-là, on a fait des petites erreurs qui les ont remis en confiance et au même moment, ils ont durci le jeu en faisant un véritable effort défensif, qui a été récompensé ».
Ce 16-0 encaissé à la fin du troisième quart-temps soulève donc quelques questions nécessaires.
« Cela montre aussi que nous avons encore beaucoup de travail à faire. La première mi-temps est très propre mais on s’est aperçu que lorsque la pression défensive monte, on perd de notre superbe. Cela veut dire que l’on doit encore être plus exigeant pour être capable de faire la même chose dans un contexte plus difficile ».