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[Culture club] De Portland à Washington, le cinq idéal sur la période 1991-2011

A l’occasion des 20 ans de « Mondial Basket », nous avons sélectionné, pour chaque franchise, le cinq idéal sur les deux dernières décennies, c’est-à-dire la période 1991-2011.

D’accord, pas d’accord avec les choix de la rédaction ?

A vous la parole pour ce dernier volet.

PORTLAND

Terry Porter – Brandon Roy – Clyde Drexler – Rasheed Wallace – Arvydas Sabonis

Arvydas Sabonis était une superstar européenne avant de traverser l’Atlantique. Il débarqua en NBA en 1995 à 31 ans, après avoir été drafté en 1986. Il conclut son séjour en 2002-03 avec une moyenne de 12 points et 7.3 rebonds. Huit grosses saisons pour le « Sheed » dans l’Oregon (16.6 pts de moyenne et 50% aux tirs). Il fit ses adieux à la franchise en 2004. Clyde Drexler finit lui aussi par quitter les Trail Blazers pour aller remporter une bague à Houston. Sa carrière sous le maillot de Portland 12 ans durant fut monstrueuse avec 20.8 points et 6.2 rebonds de moyenne (47.8% aux tirs), plus deux Finales NBA perdues en 1990 et 1992. Terry Porter a été le partenaire de Drexler dans cette aventure malheureuse. Il s’affichait à 14.9 points et 7 passes par match après 10 ans de services. Le triple All-Star Brandon Roy est le p’tit jeune qui s’incruste dans le backcourt.

 

SACRAMENTO

Mike Bibby – Mitch Richmond – Peja Stojakovic – Chris Webber – Vlade Divac

Incontournable Mitch Richmond, acquis in extremis sur la ligne de départ de la saison 1991-92 via un trade avec Golden State. Un coup gagnant puisque « The Rock » fut sept fois meilleur scoreur de la franchise avant de passer le témoin à Chris Webber à partir de 1999. La grande saison des Kings, c’est 2001-02 avec une finale de Conférence perdue sur le fil, en prolongation, contre les Lakers, au terme d’un Match 7 explosif (106-112). Les Sacramento « Queens », comme disait Shaquille O’Neal, s’appelaient Chris Webber, Peja Stojakovic, Mike Bibby, Vlade Divac, aidés du défenseur Doug Christie. Ce sont eux qui forment notre starting five de la franchise car pendant deux saisons encore, ils mirent la misère à l’Ouest avec un collectif de rêve.

 

SAN ANTONIO

Tony Parker – Manu Ginobili – Bruce Bowen – Tim Duncan – David Robinson

Avant 1999, San Antonio restait une franchise faible en playoffs. L’arrivée du n°1 de la draft 1997 a tout changé. En seulement deux saisons, les Twin Towers David Robinson et Tim Duncan ont envoyé les Spurs au septième ciel. Timmy tournait déjà à plus de 21 points et 11 rebonds lors de ses deux premières années. « L’Amiral » apportait 16 points de moyenne plus une dizaine de rebonds. Robinson remporta deux bagues, Duncan en totalise quatre. Bruce Bowen, Manu Ginobili et Tony Parker ont emboîté le pas des géants. Bowen dans un rôle de chien de garde, Gino dans celui d’électron libre et Parker dans celui de chef d’orchestre. Le meneur français fit un sublime MVP des Finales 2007. Une histoire écrite en moins de 10 ans.

 

TORONTO

Damon Stoudamire – Vince Carter – Jalen Rose – Chris Bosh – Antonio Davis

Avec ce starting lineup, la franchise canadienne a le goût de l’Amérique. Ces dernières années, elle s’est « européanisée » mais l’embellie au niveau des résultats a été de courte durée. Damon Stoudamire, c’était 19.6 points, 3.2 rebonds et 8.8 passes de 1995 à 98. Vince Carter a débuté dans la franchise canadienne. Il y évolua 7 ans, signant une moyenne de 23.4 points avant d’être tradé à New Jersey au cours de la saison 2004-05. Toujours du scoring avec un Jalen Rose à plus de 16 points de moyenne sur trois saisons (mais pas une seule campagne de playoffs). Antonio Davis passa six années à Toronto. Il tourna à 12.8 points et 8.5 rebonds et signa trois apparitions en postseason. Les Raptors ont perdu leur franchise player avec le départ de Chris Bosh à Miami. Il restera le meilleur joueur de l’histoire du club : 509 matches en 7 ans, 20.2 points, 9.4 rebonds et 1.2 contre de moyenne. Il disputa les playoffs en 2007 et 2008 et se fit sortir au 1er tour à chaque fois.

 

UTAH

John Stockton – Deron Williams – Jeff Hornacek – Karl Malone – Mehmet Okur

Une franchise collée aux basques des Chicago Bulls au coeur des années 90. Comment dissocier Karl Malone de John Stockton et Jeff Hornacek, role player de luxe avec ses tirs à 3 points aussi inesthétiques qu’efficaces ? « The Mailman » a passé 18 saisons au Jazz avec deux titres de MVP de la Ligue à la clé, en 1997 et 1999. Plus de 24 points et 10 rebonds de moyenne dans l’Utah pour King Karl, jamais champion NBA malgré un départ chez les Lakers en 2003. John Stockton a joué chez les mormons pendant 19 saisons. Il est numéro 1 de l’histoire de la franchise (et de la NBA) avec 15 806 passes et 3 265 interceptions. Pas de fantaisie mais du rationnel avec le « Facteur » à la réception des colis. Deron Williams, aussi talentueux soit-il, est obligé de se décaler en shooting guard pour exister dans ce cinq, au côté d’un Stockton indéboulonnable comme point guard. Le Turc Mehmet Okur n’a eu aucune peine à s’imposer comme le meilleur pivot de la franchise depuis 20 ans. Greg Ostertag était un boulet du temps de la splendeur du Jazz.

WASHINGTON

Rod Strickland – Gilbert Arenas – Caron Butler – Juwan Howard – Gheorghe Muresan

En l’espace de cinq ans, Rod Strickland aura laissé son empreinte avec une moyenne de 15.5 points, 4.3 rebonds et 8.9 assists. L’ex-star de DePaul shootait à 43.9% chez les Wizards. Gilbert Arenas se décale au spot 2. Le gunner parfait. Enfin, pas pour tout le monde… N’est-ce pas Javaris ? Le double All-Star Caron Butler a passé trois saisons dans la capitale fédérale agrémentées de deux campagnes de playoffs. Des stats conséquentes : 18.9 points, 6.7 rebonds, 3.6 assists. L’ailier de référence des deux dernières décennies à D.C. Le power indiscutable reste Juwan Howard. L’ex-« Fab five » a disputé 464 matches à Washington. Sa box score est respectable : 18.3 points, 7.4 rebonds, 3.3 passes. Trois matches de playoffs seulement. C’est dire la faiblesse de la franchise entre 1994 et 2001. Le pivot roumain Gheorghe Muresan, surnommé « Gidza », fut M.I.P. de la saison 1995-96 (14.5 pts, 9.7 rbds).

 

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