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JB Bickerstaff et les Pistons, une renaissance commune

NBA – Cette saison, le coach a redonné du souffle à la franchise de Detroit. Mais l’inverse est également très vrai.

Comme souvent ces dernières années, le trophée de « Coach of the Year » fut très disputé et plusieurs techniciens le méritaient. Si c’est Kenny Atkinson qui a remporté le précieux sésame cette saison, son dauphin, JB Bickerstaff, aurait eu plus que le profil pour ajouter son nom au palmarès.

Il faut rappeler qu’avec 44 victoires au compteur alors que, la saison dernière, les Pistons avaient seulement gagné 14 pénibles matches, le coach a profondément transformé et fait progresser la franchise de Detroit. Elle est désormais portée par un nouveau souffle.

Tout comme le coach, par la compagnie de ce groupe, car, après son départ de Cleveland, il avait prévu de profiter d’une année sabbatique, au soleil, en Californie. Loin du Michigan donc. Trajan Langdon, qui venait d’être nommé à la tête des Pistons, a pris son téléphone pour le convaincre de venir s’installer sur le banc des faibles Pistons.

« Ils m’ont redonné le goût de la profession », assure JB Bickerstaff. « Je suis chanceux de faire partie de cette équipe, de cette franchise et de les avoir vus revitaliser les fans. On a fait du chemin, de là où on était en début de saison à ce qu’on est maintenant. Je suis immensément fier de ces gars, pour ce qu’ils ont réussi à faire. »

Le propriétaire des Pistons a pu dormir tranquille

La suite est connue : 44 succès donc en saison régulière et un premier tour de playoffs très enthousiasmant face aux Knicks, perdu 4-2. Après une telle saison, les promesses sont belles à Detroit et le coach a totalement réussi son pari.

« JB Bickerstaff est énorme pour nous. Je l’ai dit à tout le monde : il est comme un oncle pour nous. On dirait l’oncle cool qu’on veut écouter et, à l’entraînement, il est toujours à notre écoute. C’est un grand coach », assure Malik Beasley. « Il a été incroyable », poursuit Cade Cunningham. « Avec ses systèmes et en nous mettant en bonne positions, en jouant sur nos forces, on a pu faire la saison qu’on a faîte. »

Le All-Star des Pistons indique aussi qu’il n’a « jamais connu quelque chose comme ça » quand il évoque la façon de diriger les joueurs qu’utilise l’ancien entraîneur de Cleveland. « Il veut qu’on joue dur chaque soir. On ne pouvait pas demander mieux que ça, qu’un coach qui croît en nous et nous pousse tout le temps. »

Le propriétaire de la franchise, Tom Gores, résume ce mariage par deux simples formules. La première, c’est dire que « JB, c’est un cadeau pour nous », qui « a su trouver le juste milieu entre l’énergie, les émotions et la discipline. Il s’est investi très tôt dans cette équipe et dans chaque individu. Je suis très impressionné ».

Et la seconde formule ? « Je vais dire une chose : je n’ai pas perdu le sommeil cette année en sachant que JB était sur le banc. J’ai probablement perdu le sommeil en m’inquiétant de le voir perdre le sommeil. C’est un sentiment gratifiant. »

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