Interrogé sur la question il y a quelques jours, Kevin Garnett a expliqué qu’il n’avait jamais fait de trash talking.
Pourtant, la nuit dernière, contre les Sixers, il s’est contredit en ne se privant pas après avoir marqué le shoot qui a donné la victoire aux Nets à 32 secondes de la fin de la rencontre. Quelques mots, un regard et un geste avec sa main pour demander à quelqu’un dans le public de la fermer…
« Des femmes m’ont parlé, j’ai apprécié », explique-t-il au New York Post. « Je voulais les faire taire car elles parlaient trop. Elles m’ont motivé, et j’ai besoin de ça. »
L’intérieur des Nets (9 points et 9 rebonds en 28 minutes) est donc sensible au trash-talking féminin, qui doit le changer de celui fait sur le terrain. Surtout que le champion 2008 n’a que très peu d’égal dans la ligue actuellement. Seul Kobe Bryant a été formé dans le même moule, celui des années 90.