A l’occasion de la conférence téléphonique organisée par la NBA la veille, et alors que la conversation bat son plein avec Tony Parker, on en vient soudainement à évoquer le sujet des documentaires et des films sur le basket.
Si la question est relativement vaste, TP a choisi de faire dans le classique. BasketUSA vous propose son Top 5 des documentaires basket.
1. Tout Michael Jordan
D’abord, il mentionne son idole de toujours : Michael Jordan. Que ce soit les rétro Michael Jordan Playground, Come Fly with Me ou les plus élaborés Michael Jordan to the Max, His Airness, Parker dévore tout
« Le premier, c’est forcément Jordan. Ses DVD, je les ai regardés, reregardés et rereregardés. Je ne pourrais pas t’en donner un en particulier, je les aime tous. Je ne m’en lasse jamais. »
2. Magic Johnson « The Annoucement »
Un MJ succède à un autre. Cette fois, c’est Magic Johnson et plus précisément le documentaire réalisé par Nelson George pour ESPN, sorti en mars dernier. On y découvre les coulisses du fameux discours de Magic au moment d’annoncer sa séropositivité et donc sa retraite sportive
https://www.youtube.com/watch?v=wmQXPQTAcYc
3. Len Bias « Without Bias »
Là encore, Parker choisit de poursuivre le filon ESPN et sa série de documentaires 30 for 30. Et là encore, c’est un documentaire plutôt poignant puisqu’il s’agit de la mort tragique de Len Bias, numéro 2 de la draft 1986, retrouvé mort d’une overdose de cocaïne deux jours après la draft.
https://www.youtube.com/watch?v=_8Q0k6VVfOc
4. Drazen Petrovic « Once Brothers »
On vous en avait parlé à l’époque et Tony a bien raison d’en parler. Ce documentaire d’ESPN retrace le parcours croisé du Mozart du basket Drazen Petrovic et de son alter ego au pivot, Vlade Divac. Un must !
https://www.youtube.com/watch?v=cCC4FBNjgUc
5. « Glory Road »
En français, « Les Chemins du Triomphe », ce film sorti en 2006 raconte l’histoire vraie de l’équipe des Texas Western coachée par Don Haskins, qui fut la première dans l’histoire à aligner un cinq uniquement composé de joueurs noirs. C’était durant la finale NCAA 1966.