De passage à Taïwan sur le chemin de la Chine, où il va animer un camp de basket, Jeremy Lin n’a pas échappé aux questions sur Yao Ming. Le nouveau meneur des Rockets l’assure pourtant : il ne cherche pas à prendre la relève du géant chinois à Houston.
« Mon but est très simple, et c’est juste d’être le plus proche possible d’atteindre mon potentiel », a-t-il expliqué à Focus Taiwan. « Ce que j’ai fait n’est rien comparé à ce que qu’a fait Yao. »
Né de parents taïwanais mais d’une grand-mère chinoise, Jeremy Lin n’a pas souhaité dire s’il se sent plus proche de l’un ou l’autre des deux pays.
« Il y a beaucoup d’histoire derrière la personne que je suis », a-t-il lancé.