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En échouant encore en playoffs, les Cavaliers ont de quoi se motiver

NBA – Cleveland n’y arrive toujours pas en playoffs, même après une si belle saison régulière. Les échecs vont-ils réussir à endurcir Donovan Mitchell et sa bande ?

Donovan Mitchell CavaliersPlus dure est la chute. Pour les Cavaliers, cette élimination en demi-finale de conférence face aux Pacers, en cinq matches, fait mal, très mal. Après avoir gagné 64 matches en saison régulière, puis avoir « sweepé » le Heat au premier tour, Cleveland pouvait nourrir de grandes ambitions. Elles ont été fauchées en plein vol.

Cela fait trois ans que Donovan Mitchell est arrivé dans l’Ohio et si les Cavaliers ont toujours disputé les playoffs depuis, ils ont toujours buté avant la finale de conférence.

« Ce feu, cette faim », annonce l’arrière, sur les sentiments qui vont animer le groupe durant l’été et à la rentrée. « Mais, en toute honnêteté, ça ne comptera pas jusqu’en avril. On le sait, ça. Je l’ai dit, on pourrait faire 82-0 durant la saison, tout le monde s’en foutrait. Je n’ai pas de doute, les gars vont se servir de ce carburant. »

Max Strus ne dit pas autre chose, en expliquant que lui et ses coéquipiers peuvent « parler de tout ce qu’on veut, mais tant qu’on n’ira pas loin en playoffs, personne ne nous respectera ».

« On va se réveiller chaque matin et se demander ce qu’on aurait pu faire de plus »

En 2023, ce furent les Knicks, dès le premier tour, qui ont éliminé en cinq matches les Cavaliers. La saison passée, en demi-finale et toujours en cinq rencontres, ce sont les Celtics qui ont écarté Donovan Mitchell et sa bande. Cette année, donc, bis repetita.

« Le coach l’a expliqué : les défaites restent collées à nous plus que les victoires », indique Jarrett Allen. « On va le sentir tout l’été. On va se réveiller chaque matin et se demander ce qu’on aurait pu faire de plus. Quand on sera fatigué, ça nous poussera à faire un effort de plus. Faire plus, plus longtemps : ça va rester avec nous toute l’intersaison. »

Néanmoins, la seule motivation mentale ne suffira pas. Elles ont été bousculées par l’intensité des Pacers et Kenny Atkinson veut que ses troupes gagnent en puissance pour résister davantage.

« On a encore des jeunes, comme Evan Mobley, qui ont besoin de temps pour arriver à ce niveau, à cette intensité. Indiana a une équipe de vétérans, qui a déjà connu ça », analyse le coach de l’année 2025. « On a sans doute un petit groupe qui a besoin de franchir ce cap. Ils vont le faire, mais pas d’un coup, c’est un processus. Mobley sera un peu meilleur, Darius Garland sera un peu plus puissant, Evan aussi. Ils vont être un peu meilleurs et ça fait partie de cette progression, pour franchir cette marche. »  

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