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Kenny Atkinson a dû se creuser les méninges pour venir à bout de ces « FIBA Nets »

NBA – Kenny Atkinson pouvait souffler. La série de Cleveland est encore en vie, même si les Nets de Jordi Fernandez ont bien failli gâcher la fête dans l’Ohio…

Kenny AtkinsonKenny Atkinson a commencé sa conférence de presse en rendant un homme appuyé aux Nets, à qui l’on promettait l’enfer cette saison, mais qui font mieux que résister, n’ayant pas été loin de faire tomber les Celtics à Boston. Cette nuit, ils étaient encore tout proches de s’offrir le scalp des Cavaliers…

Grâce à un 33-5 à cheval sur les deuxième et troisième quart-temps, les joueurs de Jordi Fernandez avaient même ainsi pris 14 points d’avance (68-82) dans le troisième quart-temps, forçant Cleveland à utiliser un groupe qui n’avait encore jamais joué ensemble cette saison, avec Dean Wade comme pivot, pour contrer la vitesse adverse.

« Rien ne fonctionnait. Il fallait qu’on fasse quelque chose de différent, qu’on modifie des choses » explique Kenny Atkinson. « C’est pour ça qu’on a lancé Dean (Wade) comme pivot, également pour offrir un peu de repos à Evan (Mobley). Tout le monde me disait de le garder en jeu mais il fallait lui donner deux minutes. Ça a offert un peu d’énergie aux gars pour bien finir, et ça a fonctionné. Ty (Jerome) a été très bon sur la fin. Gagner le dernier quart-temps 35-18, étant donné nos difficultés dans le troisième, c’est un comeback incroyable. »

Comme les Celtics, surpris par la pression tout-terrain imposée pendant quasiment tout le match, les Cavaliers ont souffert face à l’intensité déployée par ces surprenants Nets.

« Ils jouent comme une équipe FIBA » continue l’entraîneur de Cleveland. « J’avais l’impression d’être aux Jeux olympiques. Ils ralentissent le jeu, ils sont très physiques, ils mettent une pression folle sur le porteur du ballon. Ça ralentit votre rythme, faire une passe devient compliqué, ils sont sur tous les dribbles, ils transforment le match en combat. On l’a dit aux gars à la mi-temps, ce match allait être spécial en back-to-back, c’était une guerre. »

Les Cavaliers peuvent se satisfaire d’avoir réussi à renverser la situation, derrière un grand Evan Mobley mais aussi grâce à la justesse de Darius Garland et des remplaçants. En allant chercher les points dans la raquette, avec un 14/18 au tir pour finir la rencontre, sans un seul 3-points réussi en quatrième quart-temps !

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