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Comment les Wolves ont-ils encore tout gâché ?

NBA – Alors qu’ils avaient mené de 18 points en cours de match, et encore de 5 points dans le « money time », les Wolves d’Anthony Edwards ont craqué dans la dernière ligne droite.

Anthony Edwards wolvesIl restait très exactement 79 secondes à jouer, et les Wolves menaient 108-103 après deux lancers-francs d’Anthony Edwards. Les joueurs de Chris Finch ont mené quasiment tout le match, jusqu’à prendre 18 points d’avance. Et ils ont craqué, victimes de deux coups de génie de Luka Doncic. D’abord sur sa passe dans le corner pour Kyrie Irving, puis sur ce 3-points sur la tête de Rudy Gobert. À l’arrivée, une victoire d’un petit point des Mavericks, qui ont un pied en finale NBA après avoir gagné les deux rencontres à Minneapolis.

Comment expliquer ce gros craquage dans le « money time du money time » ?

« On perd encore deux ballons… » soupire Chris Finch à propos des pertes de balles, coup sur coup, de Jaden McDaniels et Anthony Edwards. « On était statiques, et d’une certaine façon, c’est de ma faute. J’aurais dû prendre un temps-mort, et remettre Mike (Conley) en jeu. Au moins pour la dernière possession. C’est de ma faute. Mais c’est un peu toujours la même histoire. On est statique, et on perd la balle… »

Pourquoi laisser Rudy Gobert seul sur Luka Doncic ?

Autre question importante : pourquoi avoir laissé Rudy Gobert, seul, sur Luka Doncic sur la dernière possession ? Avant le 3-points de Kyrie Irving, les Wolves étaient montés à deux sur Luka Doncic, pour l’obliger à lâcher la balle. Là, ils ont laissé Rudy Gobert, seul, face à Luka Doncic après l’écran.

« On avait prévu de changer à l’intérieur de la ligne à 3-points » répond le coach des Wolves. Et c’est tout. Il ne s’étendra pas davantage sur ce choix curieux, laissant Rudy Gobert assumer ce tir victorieux de Doncic. « J’ai laissé mon équipe tomber sur cette dernière action … Ils m’ont fait confiance pour faire un stop et il a marqué un panier, à 3-points en plus. Ce qu’il fait très bien. C’est de ma responsabilité. Je dois être meilleur dans ces situations. »

L’impact de la paire Gafford-Lively

Autre élément clé : le 14 sur 16 aux tirs de la paire Gafford-Lively. Ce ne sont pas des pointures à leur poste, et pourtant, ils combinent 30 points, 14 rebonds et 5 contres en 48 minutes.

« Cela commence par faire en sorte de maintenir un peu mieux la balle loin de la raquette » répond Chris Finch à propos de la performance de Daniel Gafford et Dereck Lively II. « Rudy doit être un peu plus décisif sous le cercle. Il faut qu’on mette quelqu’un sur eux et qu’on soit plus physique. »

Mais au final, Chris Finch pense que la faillite n’est pas défensive, mais bel et bien offensive. « On a exécuté notre plan de jeu, on a pris de l’avance, mais notre attaque nous a laissés tomber à des moments clés… On a perdu des ballons, on a ratés des tirs, et finalement on est sorti de notre rythme. Ce sont deux défaites difficiles à encaisser. Mais la série est longue, et il ne faut pas baisser la tête. »

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