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Trophées NBA | Nos choix pour le MVP, Rookie Of The Year, DPOY…

NBA – Nos tendances pour les trophées NBA de la saison 2023/24, ainsi que vos votes pour le MVP, Rookie Of The Year, le Meilleur défenseur…

NBALa saison régulière terminée et les playoffs approchant, la NBA va commencer à désigner les lauréats de ses différents trophées individuels. En attendant, on vous propose de découvrir nos prédictions et de nous donner les vôtres, avec notamment deux Français bien placés dans nos prédictions : Victor Wembanyama et Rudy Gobert.

MVP : Nikola Jokic (Nuggets)

La concurrence est là, avec notamment Shai Gilgeous-Alexander et Luka Doncic, mais on en reste –à l’image de notre dernière course– sur le métronome Nikola Jokic. Histoire de consolider pour de bon le statut de meilleur basketteur de la planète du MVP des Finals et champion en titre, mais aussi car son bilan est identique à celui de Shai Gilgeous-Alexander (57-25) et que ses stats (26/12/9/1/1 de moyenne) ne sont pas moins impressionnantes que celles de Luka Doncic. Le troisième trophée se rapproche pour le « Joker », détrôné par Joel Embiid l’an passé, et cela suffira à renforcer, déjà, sa place parmi les meilleurs pivots de l’histoire…

Outsider : Shai Gilgeous-Alexander, Luka Doncic…


Rookie Of The Year : Victor Wembanyama (Spurs)

Qui d’autre que Victor Wembanyama pour être nommé Rookie de l’année, tant il aura éclaboussé la NBA de tout son talent dès ses premières semaines de compétition, s’imposant déjà comme l’une des attractions de la ligue, à seulement 20 ans ?

Malgré la belle concurrence de Chet Holmgren, qui aurait sans doute été récompensé si un tel phénomène ne lui avait pas fait de l’ombre, « Wemby » a tout simplement signé l’une des plus belles campagnes individuelles de l’histoire des rookies NBA. Ses stats donnent le vertige (21.4 points, 10.6 rebonds, 3.9 passes, 3.6 contres et 1.2 interception…), il n’a pas arrêté de progresser chaque mois et, le plus fou, c’est qu’il a encore des points faibles à améliorer. Les adversaires des Spurs sont prévenus…

Outsiders : Chet Holmgren, Brandon Miller…


Meilleur défenseur de l’année : Rudy Gobert (Wolves)

Si Victor Wembanyama a tout pour mettre la main sur ce trophée dans le futur, Rudy Gobert conserve les devants dans son duel à distance avec son compatriote.

Tout simplement car il s’est qualifié pour les playoffs, dans le Top 3 de l’Ouest accessoirement, et que son équipe possède la défense la plus efficace de NBA (108.4 points encaissés sur 100 possessions).

Alors, même si l’influence de Victor Wembanyama sur le niveau défensif des Spurs est sans doute plus importante que celle de son homologue des Wolves, mieux entouré, il nous semble toutefois difficile de le voir rafler la mise alors que sa franchise est 14e à l’Ouest et 21e au classement des défenses les plus efficaces (115.6 points encaissés sur 100 possessions). D’autant plus quand, de l’autre côté, Rudy Gobert a retrouvé son tout meilleur niveau, pour rester l’un des meilleurs capitaines de défense de la ligue…

Outsiders : Victor Wembanyama, Anthony Davis, Bam Adebayo, Herb Jones…


Coby White

Most Improved Player : Coby White (Bulls)

Récemment, la NBA a pris l’habitude de désigner un néo-All Star comme Progression de l’année, et Tyrese Maxey est donc un candidat extrêmement crédible, son changement de statut chez les Sixers pouvant évidemment être récompensé. Toutefois, Coby White est sans doute « l’explosion » la plus impressionnante, et surprenante.

Car, même s’il reste un ancien 7e choix de Draft (2019), Coby White a surpris tout le monde chez les Bulls, y prolongeant sur trois ans et dans l’anonymat l’été dernier, pour « seulement » 36 millions de dollars, après un exercice 2022/23 à 9.7 points, 2.9 rebonds et 2.8 passes sur 23 minutes, à 44% au tir, 37% à 3-points et 87% aux lancers-francs. Bien loin de ses 19.1 points, 5.1 passes et 4.5 rebonds sur 36 minutes, à 45% au tir, 38% à 3-points et 84% aux lancers-francs, dans l’ombre de DeMar DeRozan…

Outsiders : Tyrese Maxey, Cam Thomas, Jonathan Kuminga, Jalen Williams…


Meilleur sixième homme : Naz Reid (Wolves)

En complément de Karl-Anthony Towns et Rudy Gobert, Naz Reid forme sans doute la meilleure triplette d’intérieurs de la ligue et son apport est primordial pour les Wolves lors des passages sur le banc de Towns et/ou Gobert, voire de leurs absences pour repos et/ou blessure.

Capable de jouer 4 comme 5, car il peut autant s’écarter derrière la ligne qu’enfoncer son vis-à-vis dans la raquette, le joueur de 24 ans est l’energizer par excellence de Minnesota et, même s’il score moins que Malik Monk par exemple, ses progrès défensifs lui donnent un léger avantage, à nos yeux, par rapport à l’arrière des Kings.

Outsiders : Malik Monk, Bobby Portis, Norman Powell, Bogdan Bogdanovic…


Coach Of The Year : Mark Daigneault (Thunder)

Déjà élu par ses pairs, Mark Daigneault devrait logiquement être élu par les journalistes, pour avoir mené son Thunder à une très surprenante première place de la conférence Ouest ! Tout simplement époustouflant, quand on sait que son groupe possède une moyenne d’âge d’à peine 24 ans, constituant là un nouveau record de précocité pour un leader de conférence.

Le plus dur sera dès à présent de confirmer les promesses de la saison régulière mais, avant même que les playoffs ne commencent, le jeune coach (39 ans) mérite d’être salué pour avoir fait d’Oklahoma City l’une des deux équipes Top 5 à l’efficacité offensive et défensive (avec Boston).

Outsiders : Joe Mazzulla, Chris Finch, Tom Thibodeau, Michael Malone, Jamahl Mosley…


Mark Daigneault

CLUTCH : DeMar DeRozan (Bulls)

DeMar DeRozan ou Stephen Curry ? Stephen Curry ou DeMar DeRozan ? Tout porte à croire que le successeur de De’Aaron Fox en tant que joueur le plus décisif de la ligue nous viendra soit de Chicago, soit de San Francisco.

Les deux candidatures se valent, mais on opte plutôt pour celle de DeMar DeRozan qui, avec un total de 182 points et une moyenne de 4.4 points dans ces situations dites « clutch » (= cinq dernières minutes d’un match dont l’écart est inférieur ou égal à 5 points), a été le grand artisan du maintien des Bulls dans le Top 10 de l’Est, puisqu’ils affichent un joli bilan de 24-16 dans le « clutch-time ». « King of the Fourth ! »

Outsiders : Stephen Curry, Shai Gilgeous-Alexander, Damian Lillard, Nikola Jokic…


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