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Willie Green et l’éloge de la patience chez les Pelicans

NBA – Pour sa troisième saison à la tête de La Nouvelle-Orléans, Willie Green fait du « programme » et de la « culture » des Pelicans sa priorité. Et ça fonctionne.

Willie Green et les PelicansWillie Green est arrivé à La Nouvelle-Orléans à l’été 2021, pour prendre la suite d’un Stan Van Gundy dont la greffe n’avait pas pris dans le bayou. Retraité depuis à peine cinq ans, l’ancien arrière était passé par les bancs des Warriors et des Suns avant d’être très rapidement propulsé comme « head coach » des Pelicans.

Très vite, le discours du coach s’est construit sur la nécessité de créer un « programme », une « culture ».

Un discours qui se transforme en réalité. Car après une première saison bouclée à 36 victoires pour 46 défaites (pour une élimination au premier tour des playoffs face aux Suns), puis une deuxième saison à 42 victoires pour 40 défaites (mais une sortie en play-in), les Pelicans progressent encore cette saison (44 victoires – 27 défaites).

« Une culture durable, qui gagne », répète aujourd’hui Willie Green sur ses objectifs. « Et j’ai l’impression que nous sommes sur la bonne voie en ce moment. »

« Les franchises qui passent de peu de victoires à 60 victoires, ce n’est pas durable. On construit une franchise, un effectif, une équipe qui réussit en progressant régulièrement »

En mars, les Pelicans (44-27) ont ainsi remporté 9 de leurs 11 sorties pour titiller les Clippers (44-26) et pouvoir espérer intégrer le Top 4 de la conférence Ouest. Et ainsi donc s’offrir l’avantage du terrain en playoffs…

« Nous essayons de construire en commençant par les fondations », explique Willie Green. « Cela part des personnes que nous recrutons. Cela contribue à la bonne santé du programme. Des gens de caractère qui apportent de l’énergie, qui bossent dur. Des travailleurs acharnés. C’est ce que nous voulons construire ».

Même la blessure de Brandon Ingram ne semble pas ralentir le groupe, qui s’appuie sur un Zion Williamson très en forme et une armée de « role players » énergiques. Pour CJ McCollum, les Pelicans ont carrément « le meilleur banc de NBA ». Face à Detroit, Naji Marshall ou Jose Alvarado ont en tout cas encore été décisifs.

« C’est ainsi que l’on construit une franchise qui gagne », résume Larry Nance Jr, autre remplaçant précieux du club. « Les franchises qui passent de peu de victoires à 60 victoires, ce n’est pas durable. On construit une franchise, un effectif, une équipe qui réussit en progressant régulièrement. En s’améliorant régulièrement. En conservant le noyau dur. Et en ayant la volonté et la capacité de jouer les uns avec les autres. C’est ce qu’a fait Denver. C’est ce qu’a fait Milwaukee. Golden State. On construit. On va doucement et on construit. »

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