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Draft 2020 : Killian Tillie rassurant sur son état de santé, le point noir de son profil

L’intérieur français ne s’inquiète pas pour son avenir : il compte sur son tir et son QI basket pour faire oublier ses blessures.

Entorses des chevilles, ligament partiellement déchiré au pied, opération du genou, doigt fracturé : Killian Tillie n’a pas été épargné par les blessures à la fac, ce qui explique en partie qu’il soit resté quatre ans à Gonzaga, et qu’il soit attendu très tard lors de la prochaine Draft. Un problème dont il est conscient, comme il nous le confiait en janvier.

« Le problème que toute les équipes voient, c’est de rester en bonne santé. Je pense que c’est un bon problème à avoir car ça peut se régler. Et je travaille beaucoup sur ça. Si je suis sur le terrain, j’ai ma place en NBA. »

Neuf mois plus tard, à six semaines de la Draft, l’intérieur tient à rassurer tout le monde. « Je ne m’inquiète pas vraiment pour ça. Je connais mon corps et je sais que j’ai beaucoup travaillé dessus cet été » assure-t-il dans les colonnes de Forbes. « J’essaie juste d’être en bonne santé et de le rester. Je suis prêt et j’espère que les blessures font partie du passé. Je ne suis pas aussi inquiet que les autres à ce sujet. »

Un bon feeling avec les Celtics

S’il est en bonne santé, il a le profil d’un steal, lui l’intérieur fuyant, capable d’intimider, dribbler, distribuer, jouer au poste ou tirer de loin : il a tourné à 44% à 3-points en quatre ans à Gonzaga. « Mon tir est bon. C’est vraiment une de mes armes. Je travaille dessus, j’essaie d’être un peu plus rapide et précis quand je suis plus loin. »

À sa ligne statistique bien remplie – 13.5 points, 5 rebonds, 1.9 passe, 1 interception et 0.8 contre en 25 minutes – il faut ajouter un QI basket au-dessus de la moyenne. 

« J’adore jouer comme ça, en utilisant mon cerveau » confie-t-il. « Je sais que je ne suis pas le plus fort ou le plus athlétique, donc je dois être un peu plus intelligent sur le parquet. J’adore lire le jeu, même en défense, voir ce que l’attaque veut mettre en place et essayer de l’influencer. C’est comme ça que j’aime jouer. »

Forbes cite une seule franchise NBA dans son article, avec laquelle l’ancien Bulldog a eu une bonne discussion au printemps : Boston. Les Celtics ont ainsi les 14e, 26e, 30e, 47e choix, et un gros besoin à l’intérieur.

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