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Goran Dragic revient sur son titre à l’Eurobasket 2017, où « tout a fonctionné »

Le meneur du Heat, MVP du tournoi, raconte à quel point tout était réuni pour sa sélection nationale lors de ce mois de septembre 2017.

La pandémie de Covid-19 et le report des Jeux olympiques à 2021 vont permettre à la Slovénie de conserver son titre européen (au moins) un an de plus, jusqu’en 2022. Ce titre remporté en 2017 ne souffrait d’aucune contestation tant les Slovènes avaient affiché un superbe niveau de jeu collectif.

Pour Goran Dragic, qui a pris sa retraite internationale dans la foulée de cette compétition, c’était le parfait dénouement de sa carrière avec la sélection.

« J’ai dit aux journalistes avant la compétition qu’on allait gagner une médaille », se souvient-il pour le site de la FIBA. « Je me fichais de savoir laquelle. J’y croyais. Et une fois que les matches à Helsinki (la phase de groupe) ont commencé, j’ai su que quelque chose de spécial allait arriver. Cette rencontre contre la France, c’est probablement le moment où tous les autres ont commencé à y croire aussi. »

La Lettonie comme adversaire le plus coriace

Les Slovènes battent les Bleus 95-78 et finissent le premier tour avec cinq victoires en cinq matches. Direction la Turquie pour la phase finale. Le huitième de finale est vite avalé contre l’Ukraine (79-55) et c’est alors la Lettonie qui se présente en quart de finale.

« C’est notre match le plus compliqué de la compétition », affirme Goran Dragic. « Surtout que le quart de finale, c’est une barrière qu’on n’arrivait pas à franchir par le passé. Mentalement, on se devait d’être prêt. C’était un match complétement dingue. »

La rencontre fut superbe. Goran Dragic (27 unités) et ses coéquipiers ont résisté aux 34 points de Kristaps Porziņgis et l’ont emporté 103-97. C’est l’Espagne, tenante du titre, qui se dresse en demi-finale désormais.

« Après ce match contre la Lettonie, je dirais que la demi-finale contre l’Espagne et la finale contre la Serbie furent plus faciles à jouer. Car on était près du sommet. On pouvait voir que la médaille nous attendait. »

Un titre qui récompense une osmose

Les Espagnols, fatigués et peu rassurants depuis le début du tournoi, seront écartés avec autorité (92-72).

Goran Dragic avait raison : la Slovénie aura sa médaille. Mais il fallait l’or pour que l’histoire soit la plus belle possible. Avec 35 points à 12/22 au shoot, le « Dragon » illumine la finale contre la Serbie et remporte le titre de champion d’Europe (93-85).

Il est élu MVP du tournoi avec 22.6 points de moyenne, mais pense directement à ses coéquipiers, dont Luka Doncic (14.3 points de moyenne), Klemen Prepelic (13.8 points) et Anthony Randolph (11.7 points), ainsi qu’à son coach.

« Je n’ai pas réussi ça tout seul. On l’a fait ensemble. On était une vraie équipe, sans aucun égoïsme dans ce groupe. Je voulais gagner plus de médailles pour mon pays, mais avant 2017, bien qu’on avait aussi des gros joueurs, on n’a jamais eu une telle alchimie. On n’avait pas le bon entraîneur aussi, là on l’avait avec Igor Kokoskov. Et avec Doncic à mes côtés, j’avais la vie plus facile. En 2017, tout a fonctionné. »

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