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Cinq ans après sa Draft, Jeremy Lamb arrive à maturité à Charlotte

Drafté en 2012 par les Rockets puis échangé dans la foulée contre James Harden (avec Kevin Martin et des choix de Draft), Jeremy Lamb a mis cinq ans à y parvenir mais l’ailier des Hornets est enfin en train d’arriver à maturité. Avec 14 points par match, plus 5 rebonds et 3 passes, l’ancien d’UConn est devenu un sixième homme de luxe pour Charlotte. Voire mieux avec 14 titularisations pour compenser l’absence de Nicolas Batum en début de saison. 

« Il a toujours eu cette qualité », se souvient Scott Brooks, son coach à OKC sur NBA.com. « Le problème, c’est qu’il était trop léger et fragile physiquement. Quand le coach est plus costaud que toi, ce n’est pas bon signe ! On savait que son corps allait se renforcer, qu’il avait les qualités basket et un très bon tir. Il est très élégant offensivement, son floater est très difficile à défendre et sa qualité de passe est au-dessus de la moyenne. »

Dans sa 6e saison NBA, et sa 3e en Caroline du Nord, Jeremy Lamb remplit les attentes que Sam Presti et son staff du Thunder avaient pour lui. Mais ce sont les Hornets qui en récoltent désormais les fruits, et notamment Stephen Silas, l’entraîneur de Charlotte par intérim qui l’avait suivi de près.

« On veut qu’ils aient déjà 26 ans quand ils en ont 21 »

« Pour avoir beaucoup travaillé avec Jeremy cet été et même avant, c’est super de le voir réussir ce type de match », avait-il réagi dans la Gaston Gazette après la pointe à 32 unités de l’intéressé le 20 décembre dernier face à Toronto. « C’est très gratifiant et je suis fier de lui, et du travail accompli. Il a connu une période de moins bien en [décembre] mais il est revenu très fort et je suis fier de sa réaction. »

Ayant donc fait le travail physique nécessaire pour se renforcer, Jeremy Lamb peut désormais déployer ses ailes. Il est désormais capable de tenir les chocs qu’il reçoit quand il part vers le cercle. Et défensivement, il continue d’élever son niveau de jeu, se montrant plus présent aux rebonds avec ses bras interminables et son impressionnante détente.

« On voit très rarement, voire jamais, un joueur de 21 ans s’inquiéter de ce qu’il mange ou de son sommeil », reprend Scott Brooks. « Si c’est le cas, c’est un peu bizarre. Mais bien souvent, quand on s’occupe de jeunes joueurs, on veut qu’ils aient déjà 26 ans quand ils en ont 21 et on ne peut pas aller plus vite que la musique. Il a fait son boulot depuis et il mérite son succès actuel. »

Passé plus souvent qu’à son tour par la D-League (à l’époque), Jeremy Lamb a ainsi vu son grand copain du Thunder, Perry Jones III, disparaître du radar NBA ces dernières saisons. Et l’ancien d’UConn a bûché pour ne pas subir le même destin.

Aux côtés de son ancien coéquipier chez les Huskies, Kemba Walker, Jeremy Lamb veut aider au redressement des Hornets qui plafonnent pour le moment à une peu glorieuse 12e place à l’Est…

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