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Dennis la malice

dennis-schroderNe pas reconnaître son talent serait un Dennis de justice. Après une saison rookie frustrante, le meneur allemand justifie la confiance que place en lui Mike Budenholzer, qui contre les Lakers a reposé Jeff Teague et confié les clefs du jeu au gringalet (76 kilos) de Braunschweig. Avec 24 pts et 10 passes, Dennis Schröder a réalise son meilleur match en carrière au Staples Center. Une fois de plus, c’est lui, l’ancien meilleur espoir du championnat allemand, professionnel à l’âge de 17 ans, qui a hérité de la gonfle sur la possession de la gagne. Son drive wetsbrookien a calmé l’arène angeleno.

« Le coach était dur avec moi, et je comprends désormais pourquoi il agissait comme ça »

Souvent comparé à Rajon Rondo, le discret et taiseux faucon tourne à 14,6 pts et 6,6 passes sur le mois de mars. Quand il sort du banc il tourne à 8,9 pts et 3,6 passes, autant dire que le 17e choix de la draft 2013 est déjà à l’aise dans le costard de titulaire. Comme Pero Antic – qui a déclaré sa flamme au coaching staff géorgien, « tellement à l’écoute des joueurs et aux conceptions très européennes », Dennis Schröder rend hommage à Mike Budenholzer et ses assistants.

« Le coach me parle tous les jours et continue de me faire confiance car il constate mes progrès » nous a-t-il expliqué lundi soir. « J’adore ça. Il me demande de jouer mon jeu, de ne rien changer même si je joue plus ou que je démarre un match. Je dois impliquer mes coéquipiers et si j’ai un tir ouvert je le prends. »

Un passage fructueux en D-League

Comme Rudy Gobert, l’Allemand monte en puissance pour son année « sophomore ». Et comme Rudy Gobert, il révèle que la sévrité de son coach est essentielle.

« La saison dernière a été difficile mais j’ai continué de bosser. Le coach était dur avec moi et cela m’énervait. Mais cela paye cette saison et maintenant je comprends pourquoi il agissait comme ça. Mes progrès sont d’abord la réussite du staff, je suis ravi qu’il m’ait poussé comme il l’a fait. »

Son passage en D-League ? « Cela m’a permis d’avoir le ballon dans les mains et de jouer 36 minutes par match ».

Maman Schröder doit être fière de son fiston. C’est elle il y a quatre ans qui lui a demandé de se teindre complètement en blond. Le rejeton a refusé mais a concédé une mèche. Elle est devenue une marque de fabrique qui en NBA commence à s’imposer aux caméras.

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