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Pour Metta World Peace, Phil Jackson enseigne les bénéfices du sacrifice et de la patience

Toujours sans club après avoir été coupé par les Knicks, Metta World Peace est le mieux placé pour analyser l’arrivée de Phil Jackson. Champion NBA sous la coupe du « Maître Zen », l’ancien ailier des Lakers raconte comment Jackson l’a changé en profondeur, notamment dans l’enseignement du jeu en triangle.

« L’une des choses les plus difficiles est de devenir un joueur prêt à faire des sacrifices » rappelle-t-il au New York Post. « Avant d’arriver aux Lakers, je prenais en moyenne 16 ou 17 tirs par match. Après mon arrivée, je ne pensais qu’à me sacrifier et mes stats ont chuté. J’étais le même joueur, mais Phil m’a montré les bénéfices du sacrifice pour remporter un titre. »

Pour World Peace, la culture de la gagne est en Phil Jackson, et sa force est de la transmettre.

« Je sais qu’il adore vraiment gagner. Il adore ça plus que n’importe qui. D’autres coaches sont obsédés par la victoire mais je pense franchement que lui c’est à un niveau supérieur. C’est facile de joueur pour un gars qui aime autant gagner. En fait, Phil a le sentiment que c’est notre destin d’y arriver. »

Comment va-t-il s’y prendre à New York puisqu’il ne sera pas coach mais président ?

« Phil ne changera pas, et il continuera à s’éclater à gagner. Il sait comment mettre tout le monde sur la même longueur d’ondes. Quand il coachait, il ne contrôlait pas tout, tout le temps. Il nous laissait nous débrouiller pour gagner. Ce n’était pas une forme de pression, mais de la liberté. Je ne sais pas comment il sera comme président, mais il laissera à tout le monde la liberté de trouver un moyen de gagner. »

Cette liberté s’inscrira-t-elle dans le jeu en triangle ? World Peace se souvient de son apprentissage.

« Ça m’a pris des mois pour l’apprendre car j’avais l’habitude d’une énergie et d’un rythme différents. Je n’avais pas l’habitude de jouer à mon propre rythme. Il faut apprendre à jouer à différents postes, et de profiter de certaines situations pour frapper au bon moment. Parfois, je ne pouvais prendre que 5 tirs, et parfois j’en prenais 20. Phil m’a enseigné les atouts de la patience, et je me souviens avoir vécu des matches mémorables en playoffs. »

Sans doute pense-t-il à ce fameux Game 7 lors des Finals 2010 contre les Celtics.

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