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10 bonnes raisons de ne pas rater « Redeem Team » sur Netflix

Netflix – Produit notamment par LeBron James et Dwyane Wade, le documentaire sur l’équipe championne olympique en 2008 est enfin disponible. Un « must » !

Très attendu sur Netflix depuis l’annonce de sa sortie en août dernier, le documentaire sur la victoire de Team USA aux JO de 2008 à Pékin, intitulé « Redeem Team : rebondir ensemble », a été mis en ligne ce vendredi 7 octobre.

Réalisé par John Weinbach, co-producteur de « The Last Dance« , ce long-métrage est un « must-see » pour tous les fans de NBA. Car on y découvre les coulisses d’une équipe de légende, au même titre que la Dream Team de 92, avec des joueurs qui se révèlent sous un nouveau jour. En tout état de cause, on vous donne dix bonnes raisons de vite le visionner.

1. Parce qu’il y a une belle brochette d’interviewés, dont le regretté Kobe Bryant, mais surtout beaucoup de LeBron James, Dwyane Wade, Carlos Boozer, Coach K évidemment, ou encore Chris Paul, Carmelo Anthony et Chris Bosh. C’est tout simplement la crème de ce début de siècle, réunis pour redorer l’image de tout un pays.

2. Pour découvrir les dessous de la méthode Coach K. Le légendaire coach de Duke qui a utilisé tous les ressorts à sa disposition, avec des interventions de colonel de l’armée, des histoires pour toucher droit au coeur de ses joueurs (en leur faisant imaginer leur petit-fils (ou fille) qui les questionne sur sa défaite au JO)…

« Avec cet écusson, je ne peux pas perdre. il faudra me tirer dessus ! » Franchement, c’est ma mentalité et c’est celle avec laquelle je veux que vous jouiez ! », avait ainsi envoyé Coach K durant la prépa.

3. Pour se souvenir du parcours chaotique de Team USA entre 1996 et 2008, avec une sixième place au Mondial à la maison à Indianapolis (qui n’est pas mentionnée). Le documentaire revient en revanche amplement sur la terrible défaite aux Jeux olympiques d’Athènes en 2004, mais aussi celle de 2006 au Mondial japonais, face à la Grèce et son Baby Shaq (qui fait toujours sourire Dwight Howard).

« Quand on a perdu en 2006 au Japon, ce fut la pire défaite de ma carrière. Tu entraînes la sélection nationale, et tu perds », concède un Coach K encore marqué. « On a perdu en 2006 parce qu’on pensait connaître le paysage [du basket mondial] mais ce n’était pas le cas ! Maintenant, on devait apprendre le jeu comme il était joué, au lieu du jeu pratiqué en NBA. Ce jeu n’était pas naturel pour nous, c’est tout simplement différent. Même le ballon est différent, il se compose de 12 parties au lieu de 8 ! »

De son côté, LeBron James accusait aussi le coup. En deux tentatives avec la sélection américaine, le « Chosen One » avait essuyé deux violents revers : « Je ne me suis pas senti aussi merdique [en 2006] qu’à Athènes. On n’était pas encore prêts. »

4. Parce que c’est un moment clé dans la carrière de Kobe Bryant, le début de sa deuxième carrière. A l’époque, Kobe arrive au Team USA pour redorer son blason aussi, après son affaire du Colorado en 2003 mais aussi précédé d’une indécrottable réputation d’individualiste. Sa rédemption personnelle allait démarrer par celle de son pays, remis tout en haut du totem mondial.

Moment fondateur pour de nombreux joueurs encore jeunes, dont Wade et James, le mythe Kobe s’est vérifié en chair et en os. Comme après cette soirée où toute l’équipe (sauf un) est partie se détendre dans un club de Vegas.

A leur retour, à l’aube, ils voient Kobe en tenue, avec ses gants de muscu sur les mains, déjà en sueur. Après ça, LeBron et Wade l’ont rejoint le jour suivant aux aurores. Et bientôt, c’était toute l’équipe qui se levait à 6 heures du matin (ou avant) pour suivre le programme de Bryant !

5. Pour se plonger dans les coulisses de Team USA, avec notamment leur camp d’entraînement à Las Vegas, et leur propre cheminement collectif qui est passé par plusieurs étapes symboliques, comme ce choix de l‘hymne national chanté par Marvin Gaye au All Star Game 1983 comme leur chanson pour la compétition.

6. Pour se souvenir de la première confrontation entre l’Espagne et les Américains en poule. Quand Kobe Bryant avait donné l’exemple en allant infliger un coup d’épaule sur son propre coéquipier aux Lakers, Pau Gasol dès l’une des premières actions pour donner le ton.

7. Pour revivre cette incroyable finale olympique de 2008, que beaucoup considèrent comme l’un des plus beaux matchs de l’histoire du sport, toutes catégories confondues. Il faut dire que le cadre était magistral : une équipe américaine revancharde, qui n’a d’autre choix que de ramener l’or, face à une escouade espagnole armée jusqu’aux dents, la plus talentueuse de son histoire probablement et tout, tout près de faire vaciller le colosse américain.

Le documentaire rappelle notamment que et James et Bryant ont été rapidement ralentis par les fautes, sauvés en cela par le petit numéro de Wade en attaque. Mais en face, Rudy Fernandez est dans un grand soir, allant au passage dunker sur la truffe de Dwight Howard. Bryant s’occupera de le faire taire, l’index devant le visage dans une pose resté dans les mémoires, après son action à 4 points qui exclut définitivement Fernandez du match (pour 5 fautes) et qui redonne de l’air à Team USA dans un « crunch time » étouffant !

8. Pour souligner l’impact de Doug Collins en coulisses. Commentateur pour la télé américaine aux JO de Pékin, Collins était surtout membre de l’équipe maudite en 1972 à Munich, battue en finale par l’URSS dans une fin de match des plus rocambolesques, pour ne pas dire iniques, de l’histoire de la FIBA.

Invité par Coach K à parler de son expérience olympique durant la préparation, ses mots ont touché au coeur les joueurs de la Redeem Team, qui sont tous allés le saluer au poste commentateur une fois la victoire assurée. Ils lui ont même passé la médaille d’or au cou. Celle qu’il aurait pu (dû ?) recevoir trente-six ans auparavant.

9. Pour découvrir les scènes de liesse des superstars NBA dans les vestiaires immédiatement après la victoire. Des images rares de joie pure et simple, d’un bonheur partagé entre tous ces joueurs devenues des icônes et des marques qui représentent des millions de dollars mais qui, à ce moment-là,

10. Pour saluer, tout simplement, une des meilleures équipes du basket international. Au final, cette Redeem Team parvient à peu près à rivaliser avec la mythique Dream Team de 1992. L’escouade de 2008 compte potentiellement huit Hall of Famers, dont trois qui y sont déjà en Bryant, Kidd et Bosh, ce qui les rapproche des onze de 92.

En termes de titres NBA, la Dream Team garde aussi un léger avantage avec 23 bagues contre 17. Mais bon, avec Jordan et Pippen qui en ont déjà douze à deux…

Crédit photo : Netflix

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