La NBA a promis que la bulle d’Orlando serait une plateforme permettant aux joueurs de continuer leur lutte contre le racisme malgré la reprise. Elle en dessine maintenant peu à peu les contours.
L’inscription « Black Lives Matter » sera peinte sur les parquets, ça c’est acté. Par contre, Adam Silver s’est montré évasif sur la pose d’un genou à terre durant l’hymne américain puisque la règle l’interdit en NBA.
Et un peu plus tard, Yahoo! Sports a annoncé qu’on ne verrait pas le nom des victimes de violences policières à la place de ceux des joueurs sur les maillots, comme évoqué. Mais ce n’est pas ici une question de règlement.
D’une part, il faudrait trouver un moyen de permettre aux familles des victimes de choisir le joueur qui portera leur nom, et d’autre part, vu le nombre de ces victimes, la syndicat des joueurs craint que les proches de celles qui seront oubliées en souffrent. L’union cherche donc d’autres moyens de leur rendre hommage.