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Indiana veut « voir plus grand » à la free agency

Le GM Kevin Pritchard prépare ses appâts pour partir à la chasse aux free agents.

En mars dernier, Kevin Pritchard expliquait que la stabilité des Pacers était la clé de leur réussite. Malheureusement, avec la blessure de leur « go-to-guy » Victor Oladipo, ça n’a pas suffi pour éviter un sweep au premier tour des playoffs.

Deux mois plus tard, et alors que l’intersaison approche, la « stabilité » n’est plus le mot d’ordre du GM : avec sept joueurs en fin de contrat, 43 millions de dollars en caisse et un 18e choix à la prochaine Draft, le GM veut faire bouger les lignes.

« Je n’ai jamais été aussi excité par une Draft et une free agency » concède-t-il. « Il y a tellement d’incertitude. Je ne sais même pas si c’est possible d’envisager tous les scénarios possibles. On a passé des heures à se dire : ‘OK, s’il va là, que lui va là, et qu’ils dépensent leur argent, est-ce que ce joueur-là sera disponible ?’ Il y a presque 40% des free agents, il y aura énormément de mouvements. On doit être prêt, opportuniste, et capable d’agir vite. Il faut pouvoir bouger à un moment donné, et il faut faire partie des discussions. »

Y compris le soir de la Draft. « On va être ouvert d’esprit » assure ainsi Kevin Pritchard. « Je ne serais pas surpris que notre choix change de rang. On va être agressif avec ce n°18. »

Prêts à casser la tirelire

Même chose sur le marché de la free agency, où Indy ne veut pas se contenter de prolonger ses éléments forts en fin de contrat (Thaddeus Young, Bojan Bogdanovic, Wesley Matthews et Darren Collison dans le cinq de départ, Cory Joseph sur le banc) : la franchise « voit grand », le leitmotiv de l’intersaison, et visera les gros poissons.

« On sera à leurs trousses. On sortira nos discours, on n’a pas peur, on est prêt à voir plus grand » lance le GM. « J’ai distribué un livre à mon staff récemment : ‘La magie de voir plus grand’. On veut voir plus grand. Ça arrivera peut-être, peut-être pas. Le truc auquel on croit, c’est que si tu signes avec nous, on fera tout notre possible pour te mettre à l’aise au quotidien. »

Un argument parmi tant d’autres. Indianapolis n’est pas forcément le marché le plus attractif pour les free agents, mais le front office pourra vendre la culture locale, la cinquième place à l’Est cette année, la présence du très apprécié Victor Oladipo, ou encore celles de Myles Turner et Domantas Sabonis.

Et s’il faut casser la tirelire pour attirer une superstar, Kevin Pritchard a le feu vert du propriétaire Herb Simon.

« Herb veut gagner. On a fixé un budget, très élevé. Herb ne m’a jamais dit non, si ça rendait l’équipe meilleure. Pas une fois. Je veux voir grand, mais un truc auquel on tient, c’est payer les joueurs convenablement. On a une hiérarchie, mais en cas de circonstances exceptionnelles, je suis certain qu’il dira : ‘Allons-y, si ce joueur peut nous faire passer au niveau supérieur’. »

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