Hall Of Famer depuis 48 heures, Dennis Rodman est bien placé pour parler du lock-out puisqu’il a vécu ceux de 1995 et 1998.
Dans le Chicago Tribune, il met en garde l’union des joueurs, et notamment les joueurs les mieux payés, en fin de contrat.
« Cela va être pire (qu’en 1999). Il n’y aura peut-être pas de saison. A moins que les joueurs fassent comme ceux de NFL. Il va falloir faire des sacrifices. Les salaires à plus de 10 millions vont disparaître. Les plus gros salaires vont souffrir car les salaires non versés ne seront pas remboursés. »
Et c’est un point important dans les négociations. Un joueur à qui il reste une année de contrat pourrait donc se retrouver free agent dans un an en ayant perdu un an de salaire. Voilà un moyen de pression important de la part de la NBA et des propriétaires…