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Les Pelicans veulent shooter au moins 40 fois à 3-points par match

NBA – En augmentant ainsi leur volume de tir, les joueurs de La Nouvelle-Orléans feraient davantage de place à Zion Williamson dans la raquette.

CJ McCollumUn tir à 3-points tôt dans une possession ? Pas un problème pour Willie Green, qui semble avoir revu sa philosophie vis-à-vis des tentatives lointaines de ses Pelicans.

« Je suis en train de grandir offensivement (en acceptant) que ce sont de bons tirs pour nous. Je suis de plus en plus à l’aise avec ça, et le fait que nos gars soient prêts à prendre ces tirs et à les prendre en toute confiance. Depuis la ligne de touche, quand ils ratent quelques tirs, je dois toujours être d’accord avec ça », concède le coach.

Le paradoxe des Pelicans

En plus d’être à l’aise sur la question, il est carrément exigeant avec ses joueurs en matière de tirs primés. Le premier jour du camp d’entraînement, le technicien a dit à son équipe qu’il était temps pour tout le monde de réévaluer la façon dont ils utilisaient la ligne à 7m25.

Wille Green a même écrit un « 40 » géant sur un tableau blanc pour indiquer le nombre de tentatives de 3-points qu’il les incite à prendre en moyenne cette saison. Depuis, le staff en a fait une quasi obsession.

Il faut noter que son équipe a terminé son dernier exercice sur une forme de paradoxe : il s’agissait de la 4e équipe la plus adroite de la ligue dans l’exercice (38% en saison, contre… 27% en playoffs), mais seulement la 24e en volume (32 tentatives par match). Pourquoi se priver de shooter davantage donc ?

Surtout en ayant un phénomène physique comme Zion Williamson au sein de l’équipe, qui ne demande qu’à bénéficier d’espaces pour attaquer le cercle. « Le message a été très clair de monter à au moins 40 tirs à 3-points par match. Cela signifie qu’on doit jouer avec du rythme. Dans l’ensemble, ce sera certainement positif pour nous », se projette l’intérieur.

Ouvrir le jeu de Zion Williamson

Face au Magic la veille, les Pelicans, sans beaucoup briller, ont atteint ce quota tout rond (12/40). Les joueurs capables d’envoyer ne manquent pas dans l’effectif, à l’instar de CJ McCollum (43% l’an dernier), Herbert Jones (42%), Dejounte Murray (36%) ou encore Matt Ryan (45%).

Brandon Ingram, dont on connaît l’appétence pour le tir à mi-distance et dont l’avenir à La Nouvelle-Orléans reste flou, pourrait ainsi devoir revoir sa copie. Avec Daniel Theis à la place de Jonas Valanciunas, NOLA dispose d’une équipe sans doute plus adaptée à ce virage vers le 3-points, y compris en transition. Même si l’ancien joueur des Clippers shoote avec un volume comparable à celui du Lituanien.

« Cela va beaucoup m’aider dans le sens où il y a une option partout. L’année dernière, on avait des options. Mais la façon dont on gérait notre attaque ne nous permettait pas d’avoir autant d’options. On en a plus maintenant, cela va ouvrir mon jeu », juge encore Zion Williamson, auteur de 16 points (8/11 aux tirs) face à Orlando.

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