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Nicolas Batum : « Nous devons contrôler le rebond »

NBA – Largement dominés au rebond (55 prises à 33), les Sixers savent que ce point explique largement leur défaite face aux Knicks dans le Game 1.

Nicolas BatumAvec la présence de Joel Embiid, même diminué, la bataille de la raquette, et plus précisément du rebond, est définitivement une clé de la série entre les Knicks et les Sixers. Avant le début de la série, Philadelphie était bel et bien au courant que New York est numéro 1 au rebond offensif cette saison. Pourtant, les coéquipiers de Nicolas Batum ont été largement dominés dans ce secteur du jeu lors de la défaite au premier match.

« Nous devons contrôler le rebond, » prévient l’ailier français. « Et nous le savions. C’est la meilleure équipe de la ligue dans ce domaine. Ils ont très bien joué, ils jouent de façon agressive et ils courent après chaque ballon. Et c’est ce qu’ils ont fait, nous avons perdu là-dessus. »

Dans les chiffres, les Sixers n’ont collecté que 33 rebonds, face aux 55 prises des Knicks. Le différentiel est énorme au rebond offensif : 23 prises à 9 pour les Knicks, et c’est autant de « secondes chances » à exploiter. « C’est beaucoup trop pour un match de playoffs, » regrette Nicolas Batum. « Nous avions encore une chance de gagner le match. C’est ça le pire, c’est que nous avions encore une chance. »

Les petits aussi prennent des rebonds

Ce qui fait mal aux Sixers, c’est de découvrir que les Knicks ont inscrit 26 points après des rebonds offensifs. Dans une rencontre aussi serrée, c’est décisif.

La question du rebond n’est pas qu’une tâche d’intérieurs. Pour preuve, Josh Hart a récupéré 4 rebonds offensifs et Jalen Brunson 5. En l’absence de Julius Randle, les arrières des Knicks font leur part du boulot.

« En tant qu’arrières, nous devons prendre plus de rebonds » admet Kyle Lowry. « Leurs arrières en ont pris 10 ou quelque chose comme ça, et leurs intérieurs (Mitchell Robinson et Isaiah Hartenstein) remplissent très bien leur rôle. Résultat, des gars comme Josh et OG (Anunoby), arrivent au bon moment. Ils se placent très bien. Puisqu’on en a conscience, nous devons prendre des rebonds. C’est une grosse, grosse, grosse clé. »

Un travail d’équipe

La lutte pour le rebond est un travail précis chez les Knicks. Le positionnement du joueur, la position du corps et la connaissance du rôle de chacun pour récupérer le ballon, ce sont toutes ces petites choses qui sont réglées comme du papier à musique pour New York. Et autant de choses qui font la différence.

C’est aussi collectivement que les Sixers se doivent de répondre au défi physique des coéquipiers de Jalen Brunson. « Il faut des écrans retard plus physiques, avec plus de joueurs impliqués, » réclame Nick Nurse. « Nous devons essayer d’être plus nombreux qu’eux et à un moment donné, nous devons sauter. Nous devons être capables d’égaler leurs qualités athlétiques et de sauter. »

Limité physiquement par son genou, Joel Embiid n’avait récupéré que 5 rebonds défensifs lors du premier match. Lui aussi, ce soir pour la deuxième manche, devra égaler l’agressivité de Robinson ou d’Anunoby.

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