Si elle a certes revu ses prévisions à la baisse par rapport à juin dernier (un million de dollars en moins), la NBA prévoit encore un « salary cap » en hausse pour la saison 2024/25, comme indiqué aux 30 équipes de la ligue. C’est ce que rapportent en tout cas The Athletic et ESPN.
Ainsi, la masse salariale autorisée pour chaque franchise devrait plus précisément s’élever à 141 millions de dollars (et non pas 142 comme prévu), contre 136 millions de dollars pour la saison en cours. Soit un peu moins de 4% d’augmentation.
Au minimum, une équipe devra également dépenser 127 millions de dollars en salaires pour être en règle sur le plan financier.
Pour ce qui est de la « luxury tax », cette sorte d’impôt versé par les franchises les plus dépensières, la limite devrait être fixée à 172 millions de dollars pour s’en acquitter. Ce qui permettra aux dirigeants NBA de dépenser, au maximum, 22% de plus que le montant du « salary cap ».
Ensuite, plus le seuil de la « luxury tax » sera dépassé, plus une équipe sera durement pénalisée dans son recrutement. C’est ce que prévoit la nouvelle convention collective (CBA) avec les « First apron level » et « Second apron level » dont les montants sont, eux, identiques à la saison 2023/24 : 179 millions de dollars pour le premier, 190 millions de dollars pour le second.