La large victoire contre Charlotte a permis aux Celtics de conclure le mois de janvier avec un bilan presque parfait à domicile.
En 11 matchs au TD Garden, les joueurs de Brad Stevens n’ont ainsi connu qu’un seul revers et il n’est pas honteux : contre les Warriors, et de seulement quatre petits points.
« C’est une excellente sensation », explique Terry Rozier. « Nos fans sont incroyables, et c’est toujours agréable de jouer ici. Aucune atmosphère n’est semblable. Donc 10-1, c’est plutôt pas mal. »
Plutôt, en effet. Boston n’avait ainsi pas remporté dix matchs à domicile dans un mois depuis mars 1989. Presque 30 ans !
Ne pas oublier les lacunes à l’extérieur
Et cette belle série arrive au meilleur moment car Boston, avec 20 matchs sur 36 à l’extérieur avant janvier, avait connu une première partie de saison compliquée.
« Quand on a vu le calendrier l’été dernier, on savait que octobre, novembre et décembre seraient très, très durs à cause des déplacements », se souvient Brad Stevens. « Avoir cette opportunité de jouer à la maison, être chez soi et de dormir dans son lit, c’est toujours une bonne chose. »
Notamment pour compenser les résultats décevants à l’extérieur (11 victoires et 13 défaites).
« Nos victoires à l’extérieur sont en baisse cette saison, donc c’est important pour nous de continuer de gagner à domicile », poursuit Terry Rozier. « Remporter les matches à domicile, c’est capital et cela nous offre une certaine dynamique pour les matchs loin de Boston », ajoute Marcus Smart.
« On doit s’assurer qu’on garde ce même état d’esprit à l’extérieur » conclut Jaylen Brown, alors que les Celtics vont avoir des rencontres plus qu’abordables à New York, à Cleveland et un plus gros morceau à Philadelphie avant le All-Star Game. Surtout que les dynamiques actuelles laissent imaginer que Boston passera devant Indiana d’ici quelques jours. « On doit utiliser ce moment pour aborder février et jouer le mieux possible dans les 14 prochains jours avant le break », annonce Brad Stevens.