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Avec son effectif sans vedette, Erik Spoelstra s’interroge sur ses rotations

Battu cette nuit à domicile par les Bulls, le Heat n’a pas de cinq type, ni de superstar. Pour le coach de Miami, c’est un casse-tête que de gérer un groupe homogène où tous les joueurs se valent.

Trois petits jours. Soit la durée cette saison où le Heat s’est retrouvé avec un bilan positif. C’est arrivé seulement à deux reprises. En s’inclinant cette nuit face à Chicago, Miami a ainsi gâché l’occasion de rebasculer au-dessus des 50% de victoires. Son équipe en quête de régularité, Erik Spoelstra s’interroge sur son effectif. Une équipe, toujours privée de Goran Dragic, où le talent ne manque pas. Mais sans véritable « superstar », il est parfois difficile de composer.

« La rotation est quelque chose de complexe », assurait le technicien avant la réception des Bulls. « Je suis le premier à admettre que je ne sais pas si je prends les bonnes décisions. Mais, à un moment donné, des décisions doivent être prises. Et quelqu’un doit s’assoir sur le banc. »

Du problème d’avoir un groupe homogène sans hiérarchie

Dès lors, faut-il s’attendre à des changements de cinq majeur ? Y réintégrer un Dion Waiters par exemple, qui n’attend que ça ? À entendre Dwyane Wade, c’est toute la difficulté d’être à la tête d’une équipe où les talents se valent. Où la plupart des remplaçants sont des titulaires potentiels. Les deux hommes avaient eu une discussion sur le sujet en septembre dernier.

« Il est payé pour ça mais ce n’est pas évident », juge Dwyane Wade. « Je n’aimerais pas être à sa place. C’est dur de coacher. C’est plus facile lorsque tu n’as pas beaucoup de talents dans ton équipe. Mais si tu as des gars talentueux qui peuvent t’aider, c’est compliqué. On a beaucoup de joueurs que le coach peut faire rentrer. Mais c’est impossible de faire jouer tout le monde. »

Le casse-tête de tout entraîneur NBA avec un groupe sans hiérarchie claire.

« Si tu veux que certains joueurs soient en rythme, qu’ils ne soient pas agacés en permanence parce qu’ils n’ont pas assez de minutes, tu les fais rentrer par séquence mais c’est dur. Tout le monde ne l’accepte pas, comme je le disais par le passé, comme James Jones par exemple. Ou comme Mike Miller le faisait ou d’autres gars passés par Miami. »

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