Après 41 matchs, Orlando peut tirer les leçons de sa première partie de saison et se fixer les objectifs pour la seconde.
Le bilan ? 17-24 sur le plan comptable, à deux victoires du Top 8 à l’Est, et un équilibre difficile à trouver : après un départ compliqué, la franchise a redressé la barre grâce à une série de sept victoires en neuf matchs. Mais elle reste actuellement sur neuf revers en douze sorties, dont cinq sur les six déplacements d’un « road trip » frustrant.
Trois fois, l’équipe a en effet gâché une avance de 15 points.
« Ça montre qu’on a les capacités, mais on a du boulot », note Aaron Gordon sur le site du club. « On doit réussir à conclure nos matchs, et trouver un moyen de gagner quand on a creusé de gros écarts. »
Steve Clifford : « C’est facile de dire qu’on peut battre les meilleures équipes »
« Le défi, évidemment, c’est de trouver un moyen de jouer 48 minutes à fond chaque soir », complète ainsi son coach, Steve Clifford. « S’il faut retenir une chose, c’est que davantage de joueurs doivent mieux jouer (…) C’est facile de dire qu’on peut battre les meilleures équipes, tout le monde peut, mais ce n’est pas ça la NBA. La NBA, c’est être capable de battre une très bonne équipe le vendredi et une autre le dimanche. »
« Le défi, évidemment, c’est de trouver un moyen de jouer 48 minutes à fond chaque soir », complète ainsi son coach, Steve Clifford. « S’il faut retenir une chose, c’est que davantage de joueurs doivent mieux jouer (…) C’est facile de dire qu’on peut battre les meilleures équipes, tout le monde peut, mais ce n’est pas ça la NBA. La NBA, c’est être capable de battre une très bonne équipe le vendredi et une autre le dimanche. »
Un exercice dans lequel Orlando a du mal, mais le nouvel entraîneur du club pense pouvoir s’appuyer sur de bonnes bases pour inverser la tendance. « Globalement, je suis content de la partie travail, on a un paquet de joueurs qui veulent vraiment gagner. On a une manière de jouer qui nous offre une chance de l’emporter chaque soir. »
Reste à conclure donc, et comme le dit Steve Clifford, il faudra que certains joueurs élèvent leur niveau. C’est par exemple le cas d’Evan Fournier, qui reste sur un 0/8 à Utah pour un petit point – plus faible total depuis un zéro pointé il y a trois ans.
« C’est dur de terminer le « road trip » comme ça, mais on est toujours dans la course aux playoffs », tient-il à souligner. « Il peut encore se passer beaucoup de choses. Ça va faire du bien de revenir à Orlando. Le plus important, c’est de trouver un moyen de conserver une avance. »
Un retour à la maison face à des Celtics revanchards : le Magic avait en effet gagné au Garden en début d’année.